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Le secteur algérien du textile en souffrance (photo AB)
ALGÉRIE. Les entreprises algériennes de textile détiennent moins de 10% du marché algérien qui représente 2 mds $, soit 1,47 md €.
Intervenant le 30 janvier 2011 à la radio nationale, Omar Takdjout, secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du textile et du cuir affiliée à l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta) a, encore une fois, tiré la sonnette d’alarme pour sauver un secteur qui n’emploie plus que 15 000 salariés contre pas de moins de 200 000 il y a vingt ans.
Le syndicaliste regrette que les marchés nationaux, notamment publics, ne soient pas octroyés aux entreprises algériennes de confection. Il cite les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’armée ou encore de l’enseignement supérieur qui pourraient permettre, par leurs seules commandes, de doubler le nombre de salariés dans le secteur du textile.
L’essentiel des marchandises vendues sur le marché algérien du textile est importé souligne Omar Takdjout alors que les entreprises locales des secteurs public et privé seraient en mesure de les produire sur place.
Cela réduirait considérablement la facture d’importation et permettrait de résorber le chômage en créant plusieurs milliers de nouveaux emplois.
Lire aussi : Le secteur du textile algérien sinistré
Intervenant le 30 janvier 2011 à la radio nationale, Omar Takdjout, secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du textile et du cuir affiliée à l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta) a, encore une fois, tiré la sonnette d’alarme pour sauver un secteur qui n’emploie plus que 15 000 salariés contre pas de moins de 200 000 il y a vingt ans.
Le syndicaliste regrette que les marchés nationaux, notamment publics, ne soient pas octroyés aux entreprises algériennes de confection. Il cite les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’armée ou encore de l’enseignement supérieur qui pourraient permettre, par leurs seules commandes, de doubler le nombre de salariés dans le secteur du textile.
L’essentiel des marchandises vendues sur le marché algérien du textile est importé souligne Omar Takdjout alors que les entreprises locales des secteurs public et privé seraient en mesure de les produire sur place.
Cela réduirait considérablement la facture d’importation et permettrait de résorber le chômage en créant plusieurs milliers de nouveaux emplois.
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