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TUNISIE. L'Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) a déclaré jeudi 27 janvier 2011 au soir ne pas vouloir participer au prochain gouvernement en formation depuis 48 heures en Tunisie.
Le syndicat de plus en plus puissant, dont les mots d'ordre ont permis de chasser Ben Ali mais aussi de se faire entendre auprès du gouvernement de transition avec les manifestations de Sfax mercredi 26 janvier 2011 et de Sidi Bouzid jeudi 27 janvier 2011, entend rester à sa place.
"Nous voulons rester en tant que syndicat comme une sorte de contre-pouvoir mais nous donnerons bien entendu notre avis sur la composition du gouvernement... La position de principe est de ne pas participer au gouvernement en tant que syndicat mais on peut faire appel à des syndicalistes à titre individuel si on estime que l'on a besoin de leurs compétences" a souligné Mohamed Saad, l'un des responsables de l'UGTT.
Le syndicat de plus en plus puissant, dont les mots d'ordre ont permis de chasser Ben Ali mais aussi de se faire entendre auprès du gouvernement de transition avec les manifestations de Sfax mercredi 26 janvier 2011 et de Sidi Bouzid jeudi 27 janvier 2011, entend rester à sa place.
"Nous voulons rester en tant que syndicat comme une sorte de contre-pouvoir mais nous donnerons bien entendu notre avis sur la composition du gouvernement... La position de principe est de ne pas participer au gouvernement en tant que syndicat mais on peut faire appel à des syndicalistes à titre individuel si on estime que l'on a besoin de leurs compétences" a souligné Mohamed Saad, l'un des responsables de l'UGTT.