Voir aussi
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
La production d'électricité solaire européenne a atteint un record pendant l'été 2022
-
Aquila Clean Energy va investir 2 mrds€ dans les énergies renouvelables en Espagne et au Portugal
-
Cegid se renforce en Espagne avec l'acquisition de Grupo Primavera
-
L'Algérie demande des négociations directes entre le Maroc et le Front Polisario

Valeriano Ruiz (photo Fotocadiz)
ESPAGNE. Le nouveau gouvernement espagnol à dominante Parti Popular décidera t’il de fermer la plus ancienne centrale nucléaire du pays, Santa-Maria de Garoña, en Castille et Leon ?
Le président de l’Association espagnole de l’industrie solaire thermique (Protermosolar), Valeriano Ruiz, l’y a incité en prétendant que le parc thermosolaire actuel espagnol était suffisant pour compenser la perte d’énergie attendue de la fermeture de La Garoña.
Invité à Cadix à l’occasion du bicentenaire de la Constitution libérale espagnole de 1812, M. Ruiz a déclaré : « nous avons un système électrique fou, dans lequel la capacité de production est au double de la demande ». Pour lui aucun doute, l’épineux problème de la sécurité nucléaire peut être résolu en fermant la centrale qui fait peur à l’Espagne. Selon M. Ruiz, 22 des 26 centrales thermosolaires du parc ibère suffiraient à compenser la fermeture de La Garoña.
Cette centrale à réacteur à eau chaude est gérée par une société où sont impliqués les deux géants espagnols de l’énergie, Iberdrola et Endesa. Elle a subi en mai 2009 une élévation anormale de température, qui serait due à un problème de combustible. Mise en service en 1971, ses autorisations sont périmées depuis la fin 2009, mais elle bénéficie d’une autorisation provisoire jusqu’en 2013, que l’ancien gouvernement PSOE lui avait accordée, faute de solution de rechange à la fermeture.
Le président de l’Association espagnole de l’industrie solaire thermique (Protermosolar), Valeriano Ruiz, l’y a incité en prétendant que le parc thermosolaire actuel espagnol était suffisant pour compenser la perte d’énergie attendue de la fermeture de La Garoña.
Invité à Cadix à l’occasion du bicentenaire de la Constitution libérale espagnole de 1812, M. Ruiz a déclaré : « nous avons un système électrique fou, dans lequel la capacité de production est au double de la demande ». Pour lui aucun doute, l’épineux problème de la sécurité nucléaire peut être résolu en fermant la centrale qui fait peur à l’Espagne. Selon M. Ruiz, 22 des 26 centrales thermosolaires du parc ibère suffiraient à compenser la fermeture de La Garoña.
Cette centrale à réacteur à eau chaude est gérée par une société où sont impliqués les deux géants espagnols de l’énergie, Iberdrola et Endesa. Elle a subi en mai 2009 une élévation anormale de température, qui serait due à un problème de combustible. Mise en service en 1971, ses autorisations sont périmées depuis la fin 2009, mais elle bénéficie d’une autorisation provisoire jusqu’en 2013, que l’ancien gouvernement PSOE lui avait accordée, faute de solution de rechange à la fermeture.