
Pierre Duquesne dévoile que le prochain Sommet des deux rives se déroulera au Sud (photo : F.Dubessy)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Le FMI critique la lenteur dans la mise en œuvre des réformes au Liban
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
MEDITERRANEE. Initiateur de la conférence qui s'est tenue pour la première fois à Marseille en juin 2019, Emmanuel Macron, président de la République française, avait souhaité que, dans les six mois, une nouvelle réunion fasse le point sur les initiatives emblématiques sélectionnées par le Sommet des deux rives. Elle aurait donc dû se tenir avant Noël 2019.
Selon Pierre Duquesne, il faudra attendre le premier trimestre 2020 pour cette seconde édition consacrée à la relance de la coopération méditerranéenne. L'ambassadeur français délégué interministériel à la Méditerranée intervenait lors de la Rencontre "Renforcer la coopération en Méditerranée" organisée à Marseille, mardi 8 octobre 2019, par le Centre pour l'Intégration en Méditerranée (CIM - CMI). Il a précisé que "le prochain Sommet des deux rives se déroulerait sur la rive Sud, mais que le pays n'avait pas encore été désigné."
Reste que ce Sommet étant placé sous l'égide du dialogue 5+5, le choix ne se concentre plus que sur les cinq pays de la rive Sud qui le constitue (ceux du Nord étant représentés par la France, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et Malte). A savoir : le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. Vue la situation socio-politique dans la majorité de ces pays, il devient encore plus restreint. Le Royaume chérifien tiendrait donc la corde à l'heure actuelle. "Aucune décision n'est encore prise", tient cependant à confirmer Pierre Duquesne à econostrum.info.
Le président français souhaite que cette édition se tienne au niveau des chefs d'Etat et de gouvernement, toujours avec la société civile. Lors de la première à Marseille, la même volonté de convier les plus hautes autorités des pays méditerranéens du 5+5 avait émergée ... sans succès.
Nouveauté dévoilée par Pierre Duquesne, en plus du "G10 Méditerranée" de la première réunion, seront associés à ce second round l'Union européenne, l'Allemagne, la Banque mondiale, la Banque pour la reconstruction et le développement (Berd), la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Selon Pierre Duquesne, il faudra attendre le premier trimestre 2020 pour cette seconde édition consacrée à la relance de la coopération méditerranéenne. L'ambassadeur français délégué interministériel à la Méditerranée intervenait lors de la Rencontre "Renforcer la coopération en Méditerranée" organisée à Marseille, mardi 8 octobre 2019, par le Centre pour l'Intégration en Méditerranée (CIM - CMI). Il a précisé que "le prochain Sommet des deux rives se déroulerait sur la rive Sud, mais que le pays n'avait pas encore été désigné."
Reste que ce Sommet étant placé sous l'égide du dialogue 5+5, le choix ne se concentre plus que sur les cinq pays de la rive Sud qui le constitue (ceux du Nord étant représentés par la France, l'Espagne, l'Italie, le Portugal et Malte). A savoir : le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. Vue la situation socio-politique dans la majorité de ces pays, il devient encore plus restreint. Le Royaume chérifien tiendrait donc la corde à l'heure actuelle. "Aucune décision n'est encore prise", tient cependant à confirmer Pierre Duquesne à econostrum.info.
Le président français souhaite que cette édition se tienne au niveau des chefs d'Etat et de gouvernement, toujours avec la société civile. Lors de la première à Marseille, la même volonté de convier les plus hautes autorités des pays méditerranéens du 5+5 avait émergée ... sans succès.
Nouveauté dévoilée par Pierre Duquesne, en plus du "G10 Méditerranée" de la première réunion, seront associés à ce second round l'Union européenne, l'Allemagne, la Banque mondiale, la Banque pour la reconstruction et le développement (Berd), la Banque européenne d'investissement (BEI) et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).