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JORDANIE. Le roi jordanien l'avait promis. Le "tsunami" prévu dans les hautes fonctions de l'État prend place, lundi 17 octobre 2011, par la révocation pure et simple de son gouvernement.
Les critiques fusaient depuis des mois sur l'incapacité du gouvernement à gérer les dossiers intérieurs, notamment la gestion prochaine des élections municipales annoncées fin 2011.
Lors du 12è anniversaire de son accession au trône, en juin 2011, Abdallah II promettait des réformes menant à un système parlementaire, et annonçait le fameux "tsunami" dans les fonctions gouvernementales.
Le Premier ministre, Aoun Khassaouneh, juriste à la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye, viendra remplacer Marouf Bakhit, un ancien général de l'armée de tendance conservatrice, victime de critiques acerbes de l'opposition depuis quelques semaines.
Dans un même temps, le roi jordanien désigne un nouveau chef des services de renseignement, le général Faisal Shobaki, un officier de carrière dans le renseignement, en remplacement de Mohamad Rakkad.
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