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ITALIE, C’est le remake de l’opération « Mains propres », mais en version plus peaufinée. Vingt et un ans après l’explosion du scandale qui avait levé le voile sur un vaste système de corruption, les Ripoux reviennent et s’insèrent dans tous les secteurs de l’économie italienne.
À Milan, l’exposition universelle de 2015, un enjeu économique essentiel pour la péninsule a été infiltré par un vaste réseau politico-financier portant sur les marchés publics, c'est-à-dire la construction des pavillons.
À Gênes, la sixième banque italienne, Carige, détenue à 10% par BPCE (Banque Populaire Caisses d’Épargne), est impliquée dans une escroquerie portant sur des transferts de fonds. Soupçonné d’avoir organisé l’opération, Giovanni Bernaschi, âgé de 77 ans, ex-président de la banque et numéro deux de l’Abi, l’association des banques italiennes, a été incarcéré.
À Milan, l’exposition universelle de 2015, un enjeu économique essentiel pour la péninsule a été infiltré par un vaste réseau politico-financier portant sur les marchés publics, c'est-à-dire la construction des pavillons.
À Gênes, la sixième banque italienne, Carige, détenue à 10% par BPCE (Banque Populaire Caisses d’Épargne), est impliquée dans une escroquerie portant sur des transferts de fonds. Soupçonné d’avoir organisé l’opération, Giovanni Bernaschi, âgé de 77 ans, ex-président de la banque et numéro deux de l’Abi, l’association des banques italiennes, a été incarcéré.
À Venise enfin, la cité a failli être engloutie sous les vagues d’un scandale lié aux travaux de construction de la digue Mose qui doit protéger la ville de la montée des eaux.
Trop pour le président du Conseil Matteo Renzi qui promet de faire adopter au pas de course une loi anticorruption par le gouvernement.
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