
La reconstruction économique et politique de la Syrie pourrait commencer d'ici à la fin de l'année 2017 (photo Unocha)
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SYRIE. Selon Staffan de Mistura, "les territoires sous contrôle de Daech ne cessent de diminuer". L'envoyé spécial du Secrétaire général de l'Onu pour la Syrie estimait, vendredi 1er septembre 2017, que Daech serait défait d'ici octobre 2017 avec la prise de ses dernières positions dans le pays. L'Etat islamique détient encore les villes de Rakka (en passe d'être libérée par les Etats-Unis et les forces démocratiques syriennes soutenues par la coalition) et Daïr az Zour (bientôt entre les mains de forces gouvernementales appuyées par les Russes), et les combattants d'Al Nosra (ex- Al Qaïda) celle d'Idlib.
L'homme qui appelait mercredi 30 août 2017 le gouvernement syrien et les groupes d'opposition à "passer de la logique de guerre à celle de véritables négociations", demande aussi à la Russie, l'Iran, la Turquie, les Etats-Unis, l'Egypte et la Jordanie de "poursuivre leurs efforts vers une désescalade." Tous se retrouveront les 14 et 15 septembre 2017 à Astana (Kazakhstan) pour la prochaine réunion sur la Syrie. Et la perspective proche de l'élimination de l'équation Daech dans cette problématique pourrait bien tout changer.
"Selon moi, nous assistons au début de la fin de cette guerre...Nous devons nous assurer qu'il s'agit également du début de la paix. Et le défi démarre à ce moment précis", insiste Staffan de Mistura dans un entretien accordé vendredi 1er septembre 2017 à la BBC. L'envoyé spécial de l'Onu envisage même des élections d'ici un an.
L'homme qui appelait mercredi 30 août 2017 le gouvernement syrien et les groupes d'opposition à "passer de la logique de guerre à celle de véritables négociations", demande aussi à la Russie, l'Iran, la Turquie, les Etats-Unis, l'Egypte et la Jordanie de "poursuivre leurs efforts vers une désescalade." Tous se retrouveront les 14 et 15 septembre 2017 à Astana (Kazakhstan) pour la prochaine réunion sur la Syrie. Et la perspective proche de l'élimination de l'équation Daech dans cette problématique pourrait bien tout changer.
"Selon moi, nous assistons au début de la fin de cette guerre...Nous devons nous assurer qu'il s'agit également du début de la paix. Et le défi démarre à ce moment précis", insiste Staffan de Mistura dans un entretien accordé vendredi 1er septembre 2017 à la BBC. L'envoyé spécial de l'Onu envisage même des élections d'ici un an.