
Plus de quatorze missiles auraient été tirés par la coalition (photo : OSDH)
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SYRIE. Selon l'agence de presse officielle syrienne Sana, les forces de la coalition internationale ont attaqué, dimanche 2 décembre 2018 au soir, des positions de l'armée du régime au mont de Ghourab, au sud de la ville de Sokhneh.
Des missiles auraient été tirés "contre certaines positions de l'armée arabe syrienne dans la banlieue Est de Homs, et ce dans le cadre de sa politique soutenant les réseaux terroristes, dont en tête le réseau terroriste "Daech"", indique l'agence citant une source militaire.
Des dégâts matériels ont été causé mais aucune victime ne serait à déplorer, précise cette source.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) documente également cette information soulignant que plus de quatorze missiles ont été lancés par les forces de la coalition positionnées dans la région d'Al-Tanaf contre un convoi des forces du régime au moment de son passage dans le désert (bayida) à l'extrême Est de la province de Homs. Pour l'OSDH, ces hommes "se trouvaient perdus au milieu du désert à 35 km de la base d'Al-Tanaf".
Les représentants de la coalition menée par les Etats-Unis ont reconnu avoir envoyé plusieurs missiles mais affirment qu'ils visaient, "avec des frappes de précision", des djihadistes de l'Etat islamique dont un "haut placé" du groupe de l'Etat Islamique Abou al Oumarayn et non pas les forces régulières syriennes.
Lundi 3 décembre 2018, la Coalition annonçait d'ailleurs le décès de ce responsable de Daech, notamment impliqué, en novembre 2014, dans le meurtre par décapitation du travailleur humanitaire américain Peter Kassig enlevé en 2013 en Syrie.
Début octobre 2018, le régime syrien a encore demandé, par la voix de son ministre des Affaires étrangères devant l'Assemblée générale de l'Onu, aux forces étrangères, "opérant sur le territoire syrien, sans la demande explicite du gouvernement syrien ", de "se retirer immédiatement et sans condition préalable " de quitter leur pays. Il visait principalement les Etats-Unis, la France et la Turquie.
Des missiles auraient été tirés "contre certaines positions de l'armée arabe syrienne dans la banlieue Est de Homs, et ce dans le cadre de sa politique soutenant les réseaux terroristes, dont en tête le réseau terroriste "Daech"", indique l'agence citant une source militaire.
Des dégâts matériels ont été causé mais aucune victime ne serait à déplorer, précise cette source.
L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) documente également cette information soulignant que plus de quatorze missiles ont été lancés par les forces de la coalition positionnées dans la région d'Al-Tanaf contre un convoi des forces du régime au moment de son passage dans le désert (bayida) à l'extrême Est de la province de Homs. Pour l'OSDH, ces hommes "se trouvaient perdus au milieu du désert à 35 km de la base d'Al-Tanaf".
Les représentants de la coalition menée par les Etats-Unis ont reconnu avoir envoyé plusieurs missiles mais affirment qu'ils visaient, "avec des frappes de précision", des djihadistes de l'Etat islamique dont un "haut placé" du groupe de l'Etat Islamique Abou al Oumarayn et non pas les forces régulières syriennes.
Lundi 3 décembre 2018, la Coalition annonçait d'ailleurs le décès de ce responsable de Daech, notamment impliqué, en novembre 2014, dans le meurtre par décapitation du travailleur humanitaire américain Peter Kassig enlevé en 2013 en Syrie.
Début octobre 2018, le régime syrien a encore demandé, par la voix de son ministre des Affaires étrangères devant l'Assemblée générale de l'Onu, aux forces étrangères, "opérant sur le territoire syrien, sans la demande explicite du gouvernement syrien ", de "se retirer immédiatement et sans condition préalable " de quitter leur pays. Il visait principalement les Etats-Unis, la France et la Turquie.