
Avec l'entrée de ces cinq nouveaux investisseurs, « nous franchissons un pas important dans l'internationalisation réelle de notre initiative industrielle », a déclaré le patron de la société allemande DII, Paul Van Son, pilote du projet.
Le dirigeant a par ailleurs indiqué avoir engagé « d'étroits pourparlers » avec « une société tunisienne ».
Desertec compte désormais dix-sept partenaires, soit seize entreprises et la fondation Desertec. Le projet rassemblait jusque-là douze sociétés dont l'espagnol Abengoa et l'algérien Cevital. Mais la plupart sont allemandes, comme les géants de l'énergie E.ON et RWE, Siemens, la Deutsche Bank ou encore le réassureur Munich Re.
Transgreen au menu de la prochaine réunion de l'UpM
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Paul Van Son s'est fixé comme objectif d'avoir défini les grandes lignes de Desertec - emplacement des installations, financement, répartition approximative entre solaire et éolien - d'ici à fla in 2012, et d'avoir mis en route au moins un projet de référence, sorte de pilote qui prouvera la faisabilité de l'initiative.
Les discussions sont en cours pour implanter ce projet au Maroc.
Produire de l’énergie solaire est une chose. Encore faut-il l’acheminer. C’est justement l’objet du projet Transgreen, porté par l’énergéticien français EDF.
Ce dernier s’apprête à constituer un consortium afin de donner naissance à un vaste réseau Sud-Nord de transport d’électricité provenant de source d’énergies renouvelables développées sur la rive sud de la Méditerranée.
Les contours précis de ce consortium devraient être dévoilés lors du prochain sommet de l’Union pour la Méditerranée (UpM) le 25 mai 2010 au Caire.