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MEDITERRANEE. Lancé officiellement les 26 et 27 octobre 2020, Re-Med poursuit comme objectif "le développement de l'économie circulaire pour une construction durable en Méditerranée". Ce projet de 3,08 M€ est financé par l'Union européenne via le programme "IEV CTFT Bassin maritime Méditerranée", dans le cadre de l'Instrument européen de voisinage (IEV), à hauteur de 2,77 M€. Coordonné par Oumaya Marzouk du Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), basé à Bron (Métropole de Lyon), depuis son antenne Méditerranée implantée à Aix-en-Provence, il associe quatre pays (France, Italie, Liban, Tunisie), neuf partenaires et trois partenaires associés* sur une période de trente mois, du 4 septembre 2020 au 3 mars 2023.
"Le projet Re-Med est né de la nécessité de réduire les impacts environnementaux et sanitaires dus aux défaillances de la gestion des déchets de construction et de démolition", précise un communiqué. Le projet va donc favoriser la transformation des déchets de construction et de démolition (DC&D) en ressources pour la construction et l'entretien des routes "en adaptant ses savoir-faire techniques et technologiques à l'environnement socio-économique et réglementaire et aux besoins spécifiques du projet". Il vise à soutenir le transfert de technologies entre six ministères, trois agences nationales, cinquante propriétaires et gestionnaires de routes, six fédérations et associations du secteur routier et des déchets solides, un organisme de normalisation, sept réseaux d'experts, cinq plate-formes technologiques et centres de recherche, ainsi que des entreprises de construction et des utilisateurs des routes.
Ce transfert de technologies, doublé de formations transfrontalières, devrait amorcer la construction d'une filière de recyclage des DC&D en Méditerranée. Et favoriser une évolution réglementaire par les ministères de l'Environnement tunisien et libanais exigeant l'utilisation de DC&D recyclés dans la construction de routes de 20% à court terme et 40% à long terme.
Re-Med devrait déboucher sur la création de trois installations de tri et de traitement de granulats recyclés issus des DC&D, d'une section routière d'un kilomètre intégrant ces matériaux, d'une plate-forme en ligne collaborative, de six programmes de formations transfrontalières de mise en oeuvre, de quatre ateliers de transfert, de six publications scientifiques, de deux guides méthodologiques, de quatre propositions de loi ou de décret, du dépôt d'un brevet et de deux modèles économiques (public/privé).
"Le projet Re-Med est né de la nécessité de réduire les impacts environnementaux et sanitaires dus aux défaillances de la gestion des déchets de construction et de démolition", précise un communiqué. Le projet va donc favoriser la transformation des déchets de construction et de démolition (DC&D) en ressources pour la construction et l'entretien des routes "en adaptant ses savoir-faire techniques et technologiques à l'environnement socio-économique et réglementaire et aux besoins spécifiques du projet". Il vise à soutenir le transfert de technologies entre six ministères, trois agences nationales, cinquante propriétaires et gestionnaires de routes, six fédérations et associations du secteur routier et des déchets solides, un organisme de normalisation, sept réseaux d'experts, cinq plate-formes technologiques et centres de recherche, ainsi que des entreprises de construction et des utilisateurs des routes.
Ce transfert de technologies, doublé de formations transfrontalières, devrait amorcer la construction d'une filière de recyclage des DC&D en Méditerranée. Et favoriser une évolution réglementaire par les ministères de l'Environnement tunisien et libanais exigeant l'utilisation de DC&D recyclés dans la construction de routes de 20% à court terme et 40% à long terme.
Re-Med devrait déboucher sur la création de trois installations de tri et de traitement de granulats recyclés issus des DC&D, d'une section routière d'un kilomètre intégrant ces matériaux, d'une plate-forme en ligne collaborative, de six programmes de formations transfrontalières de mise en oeuvre, de quatre ateliers de transfert, de six publications scientifiques, de deux guides méthodologiques, de quatre propositions de loi ou de décret, du dépôt d'un brevet et de deux modèles économiques (public/privé).
Les partenaires de Re-Med
Coordinateur
Cerema (France)
Principaux membres du consortium
Sarl Dynedoc (France)
Université de Palerme (Italie)
Centre d'Essais et des Techniques de construction - CETEC (Tunisie)
Ministère des Affaires locales de l'Environnement (Tunisie)
Afrique Travaux (Tunisie)
Ministère libanais de l'Environnement (Liban)
Syndicat libanais des entrepreneurs de travaux publics (Liban)
Université américaine de Beyrouth (Liban)
Partenaires associés
Institut supérieur des sciences et techniques des eaux de Gabès (Tunisie)
Ecole nationale des ingénieurs de Tunis (Tunisie)
Institut national de normalisation et de propriété intellectuelle (Tunisie)
Cerema (France)
Principaux membres du consortium
Sarl Dynedoc (France)
Université de Palerme (Italie)
Centre d'Essais et des Techniques de construction - CETEC (Tunisie)
Ministère des Affaires locales de l'Environnement (Tunisie)
Afrique Travaux (Tunisie)
Ministère libanais de l'Environnement (Liban)
Syndicat libanais des entrepreneurs de travaux publics (Liban)
Université américaine de Beyrouth (Liban)
Partenaires associés
Institut supérieur des sciences et techniques des eaux de Gabès (Tunisie)
Ecole nationale des ingénieurs de Tunis (Tunisie)
Institut national de normalisation et de propriété intellectuelle (Tunisie)