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FRANCE. Boris Boillon comparaît lundi 22 mai 2017 devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir été arrêté le 31 juillet 2013 en possession de 350 000 € et 40 000 $ en liquide et non déclarés alors qu'il prenait le train pour la Belgique. L'ancien ambassadeur de France en Tunisie, mais aussi en Irak, doit répondre de défaut de déclaration, faux et usage de faux, blanchiment de fraude fiscale et abus de biens sociaux.
Ancien conseiller du président Nicolas Sarkozy, arabophone, Boris Boillon avait été nommé en Tunisie après la chute du président Ben Ali en février 2011. Loin de faire l'unanimité, il avait été remplacé, en août 2012, après la prise de pouvoir de François Hollande, par François Gouyette.
Son procès devait se dérouler en mars 2017 mais avait été reporté.
Ancien conseiller du président Nicolas Sarkozy, arabophone, Boris Boillon avait été nommé en Tunisie après la chute du président Ben Ali en février 2011. Loin de faire l'unanimité, il avait été remplacé, en août 2012, après la prise de pouvoir de François Hollande, par François Gouyette.
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