
La sécheresse, un problème qui s'aggrave dans la région MENA (photo Banque mondiale)
Voir aussi
-
La Turquie et Israël reprennent "pleinement et entièrement" leurs relations diplomatiques
-
L'enseigne de prêt-à-porter féminin Camaïeu demande son placement en redressement judiciaire
-
Yves Aubin de La Messuzière veut « contribuer à donner des clés de compréhension du monde arabe ».
-
Neuf fonds créent le premier réseau d'investisseurs souverains du continent africain
-
L’Égypte est le deuxième plus grand bénéficiaire d'investissements directs étrangers en Afrique
MENA. Les problématiques liées à l’eau impactent de plus en plus durement le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, indique un nouveau rapport de la Banque mondiale.
Le manque d’eau atteint des niveaux de plus en plus alarmants. Voici soixante ans, chaque individu disposait d’un volume de ressources en eau quatre fois plus élevé qu’aujourd’hui.
Plus nombreuses, les périodes de sécheresse affectent les populations. En 2010, la sécheresse en Syrie a touché 1,3 million de personnes.
En dépit du déficit de la ressource en eau, les risques associés aux inondations s’aggravent également en raison de l’urbanisation galopante et du tout-béton. On se souvient ainsi de la crue qui, à Alger, a ravagé le quartier de Bab-el-Oued en 2001 et fit 900 victimes.
La Banque mondiale, qui note que l’Algérie, l’Égypte, le Liban et le Maroc ont mis en place des services de gestion des risques naturels, appelle néanmoins à leur renforcement ou à leur développement, notamment dans le cadre de partenariats Sud-Sud.
Le manque d’eau atteint des niveaux de plus en plus alarmants. Voici soixante ans, chaque individu disposait d’un volume de ressources en eau quatre fois plus élevé qu’aujourd’hui.
Plus nombreuses, les périodes de sécheresse affectent les populations. En 2010, la sécheresse en Syrie a touché 1,3 million de personnes.
En dépit du déficit de la ressource en eau, les risques associés aux inondations s’aggravent également en raison de l’urbanisation galopante et du tout-béton. On se souvient ainsi de la crue qui, à Alger, a ravagé le quartier de Bab-el-Oued en 2001 et fit 900 victimes.
La Banque mondiale, qui note que l’Algérie, l’Égypte, le Liban et le Maroc ont mis en place des services de gestion des risques naturels, appelle néanmoins à leur renforcement ou à leur développement, notamment dans le cadre de partenariats Sud-Sud.