
Une étude de la banque HSBC évalue le coût économique des bouleversements politiques dans le monde arabe (photo Ligue arabe)
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MONDE ARABE. Fuite des capitaux, diminution des investissements et de la production, infrastructures à reconstruire, tourisme en berne…
Selon la banque HSBC, le printemps arabe aurait coûté 800 mrds $ (592 mrds €) à un ensemble de pays constitués de l’Égypte, de la Tunisie, de la Libye, de la Syrie, de la Jordanie, du Liban et de Bahreïn.
Un prix que les économies arabes n’ont pas fini de payer puisque l’établissement londonien estime que le PIB de ces sept pays demeurera 35 % inférieur en 2014 au niveau qu’il aurait atteint sans les bouleversements politiques des trois dernières années.
Selon la banque HSBC, le printemps arabe aurait coûté 800 mrds $ (592 mrds €) à un ensemble de pays constitués de l’Égypte, de la Tunisie, de la Libye, de la Syrie, de la Jordanie, du Liban et de Bahreïn.
Un prix que les économies arabes n’ont pas fini de payer puisque l’établissement londonien estime que le PIB de ces sept pays demeurera 35 % inférieur en 2014 au niveau qu’il aurait atteint sans les bouleversements politiques des trois dernières années.