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Nicolas Sarkozy, président de la République française, lors du discours du G20 de 2011. (site président français)
FRANCE. Le président français Nicolas Sarkozy est intervenu, jeudi 17 novembre 2011, à l'Élysée, sur le nucléaire en affirmant que sa réduction provoquerait des "dommages considérables à l'industrie française" à l'occasion du 3e anniversaire du Fonds stratégique d'investissement.
Une initiative très symbolique puisqu'elle apparaît à la veille de deux grandes décisions qui risquent de chambouler l'énergie du nucléaire.
L'accord conclu cette semaine entre le PS et les Verts en vue des élections présidentielles et législatives de 2012 escompte "la fermeture progressive de 24 réacteurs, en commençant par l'arrêt immédiat de Fessenheim et ensuite des installations les plus vulnérables" selon leur âge ou leur localisation en zone sismique ou inondable. L'accord prévoit une réduction de la part du nucléaire dans la production électrique française de 75% à 50% en 2025.
De plus, le dernier rapport de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), publié jeudi 17 novembre 2011, alerte la France en remettant en cause l'infaillibilité des installations nucléaire : "L'accident de Fukushima, mais également les évaluations complémentaires de sûreté, mettent en évidence la nécessité de faire évoluer sans tarder certains référentiels de sûreté des installations". Ses experts estiment que certains référentiels en matière de sécurité nucléaire devront être revus "sans attendre les réexamens décennaux" classiques.
Nicolas Sarkozy a affirmé que "vouloir abandonner cette énergie, ou réduire autoritairement sa part dans notre mix énergétique sans disposer de solutions de substitution (...) cela signifie des dommages considérables à l'industrie française... Le prix de l'électricité est l'un des rares avantages concurrentiels par rapport à nos partenaires". Selon celui-ci, "toutes les familles politiques françaises ont porté cet effort national sans précédent qui a permis à la France d'être au premier rang" de l'industrie nucléaire.
Nicolas Sarkozy milite depuis le début de son mandat en faveur du nucléaire qui, selon lui, "offre à la France une électricité compétitive, non-émettrice de CO2, non dépendante des ressources en énergie fossile".
Voir le communiqué de presse de l'IRSN (rapport en PDF intégré dans le communiqué)
Rapport du président français du 3ème anniversaire du FSE
Une initiative très symbolique puisqu'elle apparaît à la veille de deux grandes décisions qui risquent de chambouler l'énergie du nucléaire.
L'accord conclu cette semaine entre le PS et les Verts en vue des élections présidentielles et législatives de 2012 escompte "la fermeture progressive de 24 réacteurs, en commençant par l'arrêt immédiat de Fessenheim et ensuite des installations les plus vulnérables" selon leur âge ou leur localisation en zone sismique ou inondable. L'accord prévoit une réduction de la part du nucléaire dans la production électrique française de 75% à 50% en 2025.
De plus, le dernier rapport de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), publié jeudi 17 novembre 2011, alerte la France en remettant en cause l'infaillibilité des installations nucléaire : "L'accident de Fukushima, mais également les évaluations complémentaires de sûreté, mettent en évidence la nécessité de faire évoluer sans tarder certains référentiels de sûreté des installations". Ses experts estiment que certains référentiels en matière de sécurité nucléaire devront être revus "sans attendre les réexamens décennaux" classiques.
Nicolas Sarkozy a affirmé que "vouloir abandonner cette énergie, ou réduire autoritairement sa part dans notre mix énergétique sans disposer de solutions de substitution (...) cela signifie des dommages considérables à l'industrie française... Le prix de l'électricité est l'un des rares avantages concurrentiels par rapport à nos partenaires". Selon celui-ci, "toutes les familles politiques françaises ont porté cet effort national sans précédent qui a permis à la France d'être au premier rang" de l'industrie nucléaire.
Nicolas Sarkozy milite depuis le début de son mandat en faveur du nucléaire qui, selon lui, "offre à la France une électricité compétitive, non-émettrice de CO2, non dépendante des ressources en énergie fossile".
Voir le communiqué de presse de l'IRSN (rapport en PDF intégré dans le communiqué)
Rapport du président français du 3ème anniversaire du FSE