Voir aussi
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
La Tunisie s'apprête à conclure un accord avec le FMI
-
Le Président tunisien veut des députés indépendants des partis politiques
-
Le Crédit Agricole devient majoritaire dans le capital de sa filiale égyptienne
-
La Tunisie cumule les mauvais résultats économiques

Abdelaaziz Bouteflika (photo DR)
ALGÉRIE. Les autorités algériennes sont finalement sorties de leur mutisme à propos de la situation en Tunisie.
Alors qu’il survolait, le 18 janvier 2011, l’espace aérien tunisien pour se rendre au deuxième sommet économique arabe qui se tient au Caire, le président Abdelaaziz Bouteflika a envoyé un message de «salutations fraternelles» à son nouvel homologue, Fouad Mebazaa.
Ce message, dans lequel il lui souhaite plein succès en vue de « faire parvenir la Tunisie à bon port », constitue la première prise de position officielle de l’Etat algérien.
Aucune réaction n’avait été enregistrée jusqu’ici et ce silence, de plus en plus pesant et énigmatique, durait depuis le départ précipité de l’ex-président Ben Ali, le 14 janvier 2011.
Alors qu’il survolait, le 18 janvier 2011, l’espace aérien tunisien pour se rendre au deuxième sommet économique arabe qui se tient au Caire, le président Abdelaaziz Bouteflika a envoyé un message de «salutations fraternelles» à son nouvel homologue, Fouad Mebazaa.
Ce message, dans lequel il lui souhaite plein succès en vue de « faire parvenir la Tunisie à bon port », constitue la première prise de position officielle de l’Etat algérien.
Aucune réaction n’avait été enregistrée jusqu’ici et ce silence, de plus en plus pesant et énigmatique, durait depuis le départ précipité de l’ex-président Ben Ali, le 14 janvier 2011.