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Abdelmalek Sellal, nouveau Premier ministre (photo DR)
ALGÉRIE. Le président de la République algérienne, Abdelaziz Bouteflika a nommé un nouveau gouvernement le 4 septembre 2012.
La veille, il avait désigné Abdelmalek Sellal, ancien ministre des Ressources en eau, en qualité de Premier ministre, en remplacement d’Ahmed Ouyahia, démissionnaire.
Le nouvel exécutif s’avère pratiquement identique au précédent même si trois ténors politiques n’en font plus partie.
Il s’agit d’Ahmed Ouyahia lui-même, président du Rassemblement national démocratique (RND), de Boubekeur Benbouzid, ministre RND de l’Éducation nationale depuis de nombreuses années, membre du gouvernement depuis 19 ans et de Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, membre du Front de libération nationale (FLN).
La désignation d’un technocrate sans attache partisane connue pour diriger l’exécutif relève du choix souverain de Bouteflika selon la Constitution algérienne. Ce choix confirme une nouvelle fois le caractère profondément présidentiel de la Loi suprême puisqu’il ignore le résultat du dernier scrutin législatif du 10 mai dernier qui avait vu le FLN remporter la majorité des suffrages exprimés.
La veille, il avait désigné Abdelmalek Sellal, ancien ministre des Ressources en eau, en qualité de Premier ministre, en remplacement d’Ahmed Ouyahia, démissionnaire.
Le nouvel exécutif s’avère pratiquement identique au précédent même si trois ténors politiques n’en font plus partie.
Il s’agit d’Ahmed Ouyahia lui-même, président du Rassemblement national démocratique (RND), de Boubekeur Benbouzid, ministre RND de l’Éducation nationale depuis de nombreuses années, membre du gouvernement depuis 19 ans et de Djamel Ould Abbès, ministre de la Santé, membre du Front de libération nationale (FLN).
La désignation d’un technocrate sans attache partisane connue pour diriger l’exécutif relève du choix souverain de Bouteflika selon la Constitution algérienne. Ce choix confirme une nouvelle fois le caractère profondément présidentiel de la Loi suprême puisqu’il ignore le résultat du dernier scrutin législatif du 10 mai dernier qui avait vu le FLN remporter la majorité des suffrages exprimés.