
Le président du MSP préfère ne pas s'engager dans la prochaine présidentielle (photo : MSP)
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ALGÉRIE. Alors que plusieurs candidats se sont fait connaître pour la prochaine élection présidentielle en Algérie, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a annoncé, dimanche 29 septembre 2019, qu'il ne présenterait aucun bulletin ce 12 décembre 2019, date du scrutin.
Le parti politique d'obédience islamiste affirme, par la voix de son chargé de communication Bouabdallah Benadjimia, que "les préalables requis, notamment la transparence de l'élection, la satisfaction des revendications du Hirak, ne sont pas réunis." Il se range donc aux revendications du Hirak, cette foule qui défile, tous les mardis et vendredis, dans les rues algériennes pour demander le départ de tous les caciques du régime actuel et de l'ex-président Abdelaziz Bouteflika comme préalable avant tout vote dans les urnes.
Présidé par Abderrazak Makri, le MSP est le principal parti d'opposition de l'Assemblée populaire nationale (APN - le parlement algérien) où il détient trente-quatre sièges sur 462. Jusqu'en 2012, et pendant dix ans, le parti islamiste modéré, qui se réclame des Frères musulmans, appartenait à la coalition au pouvoir soutenant le président Bouteflika.
Le parti politique d'obédience islamiste affirme, par la voix de son chargé de communication Bouabdallah Benadjimia, que "les préalables requis, notamment la transparence de l'élection, la satisfaction des revendications du Hirak, ne sont pas réunis." Il se range donc aux revendications du Hirak, cette foule qui défile, tous les mardis et vendredis, dans les rues algériennes pour demander le départ de tous les caciques du régime actuel et de l'ex-président Abdelaziz Bouteflika comme préalable avant tout vote dans les urnes.
Présidé par Abderrazak Makri, le MSP est le principal parti d'opposition de l'Assemblée populaire nationale (APN - le parlement algérien) où il détient trente-quatre sièges sur 462. Jusqu'en 2012, et pendant dix ans, le parti islamiste modéré, qui se réclame des Frères musulmans, appartenait à la coalition au pouvoir soutenant le président Bouteflika.