
Le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi (photo MEM)

Le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi (photo MEM)
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ALGÉRIE. Le ministre algérien de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, intervenant à la radio Alger chaîne III le 3 janvier 2011, a déclaré que le gouvernement « n’a pas encore opté pour un partenaire pour développer les énergies renouvelables. Nous n’avons pas fait de choix ».
Lors de sa visite officielle en Allemagne, en décembre 2010, le président Bouteflika avait déclaré que les deux pays travaillaient sur des projets immenses «notamment celui de Desertec que nous allons approfondir d’un commun accord.»
Certains journalistes, commentateurs et autres hommes politiques algériens en avaient alors conclu que les autorités avaient donné leur feu-vert au projet Desertec.
Le ministre a donc apporté un démenti à ces conclusions. Rappelant que Desertec est le projet d’industriels, il a déclaré que « le gouvernement allemand n’a rien à voir avec Desertec » et que «le gouvernement algérien n’a pas [de son côté] à donner son feu-vert ou son feu-rouge.»
Youcef Yousfi a conclu que l’Algérie a l’intention, en traçant son programme et en mobilisant préalablement ses propres moyens, de « travailler avec des partenaires, aussi bien avec Desertec qu’avec d’autres organismes comme Transgreen ou Plan Solaire Méditerranéen (PSM), et tous ceux qui rentrent dans nos objectifs. »
Lors de sa visite officielle en Allemagne, en décembre 2010, le président Bouteflika avait déclaré que les deux pays travaillaient sur des projets immenses «notamment celui de Desertec que nous allons approfondir d’un commun accord.»
Certains journalistes, commentateurs et autres hommes politiques algériens en avaient alors conclu que les autorités avaient donné leur feu-vert au projet Desertec.
Le ministre a donc apporté un démenti à ces conclusions. Rappelant que Desertec est le projet d’industriels, il a déclaré que « le gouvernement allemand n’a rien à voir avec Desertec » et que «le gouvernement algérien n’a pas [de son côté] à donner son feu-vert ou son feu-rouge.»
Youcef Yousfi a conclu que l’Algérie a l’intention, en traçant son programme et en mobilisant préalablement ses propres moyens, de « travailler avec des partenaires, aussi bien avec Desertec qu’avec d’autres organismes comme Transgreen ou Plan Solaire Méditerranéen (PSM), et tous ceux qui rentrent dans nos objectifs. »