
Le marché immobilier continue de souffrir en Grèce (photo F.Dubessy)
EUROPE / TURQUIE. Era, réseau international d’agents immobiliers, dévoile jeudi 16 février 2012, sa dernière étude portant sur seize pays européens et la Turquie. Le groupe constate globalement qu’en 2011 les pays du nord de l’Europe s’éveillent et présentent de meilleurs résultats que les pays du sud. La France fait office de bon élève selon Era.
"Ilot de prospérité" jusqu'en 2011, le marché de l'immobilier résidentiel français présente de bons résultats grâce aux prix des logements encore vigoureux. Ainsi, en 2011, le marché français affiche des résultats exceptionnels "à l’encontre du mouvement de stabilisation ou baissier observé sur d’autres marchés européens" grâce notamment aux mauvaises difficultés boursières amenant les Français "à se réfugier dans l’immobilier" et au plan de relance de 2010.
En Turquie, la forte demande immobilière et le niveau attractif des prix permettraient au pays de développer un fort potentiel sur le marché immobilier.
Malgré les difficultés économiques de l'Italie, le marché du logement reste globalement en forme. Selon Era, "les acquéreurs détiennent souvent des liquidités et n’ont pas besoin de crédit pour financer leur acquisition. Résultat, ce marché est moins tributaire des variations de taux et des considérations de prix. Malgré tout, en 2011, les valeurs ont légèrement baissé (de l’ordre de 1 à 3 %) et la montée des stocks de logements à la vente pourrait accentuer cette tendance baissière en 2012 ».
Grèce, Portugal et Chypre accusent, quant à eux, un fort déclin de santé sur le marché du logement.
En Grèce "le marché du logement souffre : les ventes et les prix du logement baissent, mais le rythme du déclin ralentit ".
Au Portugal, "après une chute des transactions de 40 % entre 2002 et 2009, les ventes ont repris quelques couleurs en 2010 (+ 4 %) mais les prix sont restés stables. En 2011, ils ont toutefois accusé une baisse de 3 % à l’échelon national. Le crédit immobilier y demeure abordable, ce qui compense le déséquilibre entre l’offre et la demande".
Enfin à Chypre, après une baisse vertigineuse des ventes en 2009 (-44 %), les transactions immobilières chutent de 6% en 2011.
"Ilot de prospérité" jusqu'en 2011, le marché de l'immobilier résidentiel français présente de bons résultats grâce aux prix des logements encore vigoureux. Ainsi, en 2011, le marché français affiche des résultats exceptionnels "à l’encontre du mouvement de stabilisation ou baissier observé sur d’autres marchés européens" grâce notamment aux mauvaises difficultés boursières amenant les Français "à se réfugier dans l’immobilier" et au plan de relance de 2010.
En Turquie, la forte demande immobilière et le niveau attractif des prix permettraient au pays de développer un fort potentiel sur le marché immobilier.
Malgré les difficultés économiques de l'Italie, le marché du logement reste globalement en forme. Selon Era, "les acquéreurs détiennent souvent des liquidités et n’ont pas besoin de crédit pour financer leur acquisition. Résultat, ce marché est moins tributaire des variations de taux et des considérations de prix. Malgré tout, en 2011, les valeurs ont légèrement baissé (de l’ordre de 1 à 3 %) et la montée des stocks de logements à la vente pourrait accentuer cette tendance baissière en 2012 ».
Grèce, Portugal et Chypre accusent, quant à eux, un fort déclin de santé sur le marché du logement.
En Grèce "le marché du logement souffre : les ventes et les prix du logement baissent, mais le rythme du déclin ralentit ".
Au Portugal, "après une chute des transactions de 40 % entre 2002 et 2009, les ventes ont repris quelques couleurs en 2010 (+ 4 %) mais les prix sont restés stables. En 2011, ils ont toutefois accusé une baisse de 3 % à l’échelon national. Le crédit immobilier y demeure abordable, ce qui compense le déséquilibre entre l’offre et la demande".
Enfin à Chypre, après une baisse vertigineuse des ventes en 2009 (-44 %), les transactions immobilières chutent de 6% en 2011.