Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
ALGÉRIE / ÉGYPTE. L’Égyptien Asec (groupe Qalaa Holding) annonce dans un communiqué publié dimanche 23 octobre 2016, la vente à deux investisseurs algériens de 100% des parts de la cimenterie de Djelfa (300 km au sud d'Alger) qu'il détenait. Il s'agit de Ali Haddad, Pdg de l'Entreprise des travaux routiers, hydrauliques et bâtiments (ETRHB), et de Réda Kouninef, Pdg du groupe KOU.G.C..
En construction précisément à Aïn El-Ibel, à 35 km au sud de Djelfa, les actions d'Asec de cette cimenterie sont cédées pour 60 M$ (55 M€). La transaction sera achevée d'ici la fin de l'année 2016.
L'étude de réalisation de la cimenterie de Djelfa remonte à 1973. Le projet, sur un terrain de 23 hectares, a été lancé en 2008 par le groupe Asec qui voulait construire une usine d'une capacité de 3,3 millions de tonnes par an après un investissement de 413 M$ (379 M€). Le dossier s'est heurté pendant les travaux à un problème de financement malgré un accord avec la Société financière internationale (SFI - Groupe Banque mondiale) de 24 M$ (22 M€). Selon le ministère algérien de l'industrie, qui s'est vu proposer, en 2010, le rachat des actions de la société égyptienne, Asec n'a pas réussi à obtenir les crédits nécessaires auprès des banques algériennes pour achever les travaux.
La cimenterie devait être opérationnelle en juin 2010. Elle devait créer 600 emplois directs et 800 indirects. Et plus de 2 000 pendant sa construction.
Le groupe Asec reste cependant présent dans le secteur en Algérie. Il possède 35% de la cimenterie de Zahana (wilaya de Mascara à 90 km au sud-est d'Oran).
En construction précisément à Aïn El-Ibel, à 35 km au sud de Djelfa, les actions d'Asec de cette cimenterie sont cédées pour 60 M$ (55 M€). La transaction sera achevée d'ici la fin de l'année 2016.
L'étude de réalisation de la cimenterie de Djelfa remonte à 1973. Le projet, sur un terrain de 23 hectares, a été lancé en 2008 par le groupe Asec qui voulait construire une usine d'une capacité de 3,3 millions de tonnes par an après un investissement de 413 M$ (379 M€). Le dossier s'est heurté pendant les travaux à un problème de financement malgré un accord avec la Société financière internationale (SFI - Groupe Banque mondiale) de 24 M$ (22 M€). Selon le ministère algérien de l'industrie, qui s'est vu proposer, en 2010, le rachat des actions de la société égyptienne, Asec n'a pas réussi à obtenir les crédits nécessaires auprès des banques algériennes pour achever les travaux.
La cimenterie devait être opérationnelle en juin 2010. Elle devait créer 600 emplois directs et 800 indirects. Et plus de 2 000 pendant sa construction.
Le groupe Asec reste cependant présent dans le secteur en Algérie. Il possède 35% de la cimenterie de Zahana (wilaya de Mascara à 90 km au sud-est d'Oran).