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PORTUGAL. Le gouvernement portugais a décidé de réquisitionner 70 % des salariés de la compagnie aérienne TAP, afin d’assurer les vols lors de la grève prévue entre le 27 et le 30 décembre 2014.
Selon les prévisions du gouvernement cela permettra d’assurer 100 % des vols, si les salariés répondent présents. Ils peuvent en effet ne pas se rendre sur leur lieu de travail en produisant un justificatif.
La mesure extrêmement rare, mais prévue par la loi - en ce qui concerne la TAP cela n’a eu lieu qu’une fois en 1997- , s'explique par l’époque de la grève, la période de Noël, un moment où les familles portugaises se réunissent.
Le gouvernement se dit prêt à négocier avec les syndicats, mais pose comme préalable l’annulation du préavis de grève, et précise qu’il refusera d’aborder des questions relatives à la privatisation de la compagnie aérienne.
Les douze syndicats regroupés au sein d’une plate-forme exigent que la privatisation soit suspendue pendant les négociations, ce que refuse le gouvernement.
Le bras de fer risque de se poursuivre, alors que les syndicats eux-mêmes sont divisés sur les positions à adopter. Un mouvement " non à la privatisation de la TAP " s’est mis en place dans la population portugaise opposée majoritairement à la vente de la compagnie.
Selon les prévisions du gouvernement cela permettra d’assurer 100 % des vols, si les salariés répondent présents. Ils peuvent en effet ne pas se rendre sur leur lieu de travail en produisant un justificatif.
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Le gouvernement se dit prêt à négocier avec les syndicats, mais pose comme préalable l’annulation du préavis de grève, et précise qu’il refusera d’aborder des questions relatives à la privatisation de la compagnie aérienne.
Les douze syndicats regroupés au sein d’une plate-forme exigent que la privatisation soit suspendue pendant les négociations, ce que refuse le gouvernement.
Le bras de fer risque de se poursuivre, alors que les syndicats eux-mêmes sont divisés sur les positions à adopter. Un mouvement " non à la privatisation de la TAP " s’est mis en place dans la population portugaise opposée majoritairement à la vente de la compagnie.