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Abdoulaye Bathily devient le nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu en Libye
LIBYE. Dépassé, le chef du Gouvernement d'union nationale (GNA) en Libye, appelle à une intervention étrangère urgente dans le sud de son pays. "Nous nous adressons à vous en votre qualité de représentants de la communauté internationale, dans l'espoir de vous voir intervenir rapidement pour mettre fin aux agissements de ceux qui jouent avec la stabilité du pays et la sécurité de ses citoyens... Les escalades militaires récurrentes dans le pays risquent de compromettre le processus politique de règlement de la crise et conduire tout droit les Libyens à une guerre civile dont l’issue est des plus incertaines", indique le courrier adressé lundi 17 avril 2017 à plusieurs organismes internationaux dont l'Union européenne, les Nations Unies et la Ligue arabe.
Fayez al-Sarraj, seul dirigeant reconnu et soutenu par l'Onu, ne contrôle qu'une partie du territoire national. Face à lui les troupes de Daech mais aussi, à l'Est, celles de l'Armée nationale libyenne (ANL) et de son charismatique général Khalifa Haftar soutenu lui par le Parlement de Tobrouk. Depuis une semaine, alors qu'elles s'évitaient pour concentrer leurs combats contre l'Etat islamique, les forces d'Al-Sarraj et celles de Khalifa Haftar s'affrontent dans le sud du pays pour la conquête de l'aéroport de Tamanhant, principale base militaire et porte d'entrée pour le contrôle des champs pétroliers de Sharara et Al-Filoun..
Fayez al-Sarraj veut mettre fin au chaos qui règne sur la Libye depuis l'assassinat de Mouammar Kadhafi en 2011.
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