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ISRAEL. Dimanche 28 mai 2017, le gouvernement israélien a approuvé le projet controversé du téléphérique de Jérusalem. Il devrait relier Jérusalem-Ouest à la Vieille ville située dans Jérusalem-Est, territoire palestinien annexé et occupé par Israël depuis 1967. Une annexion que ne reconnaît pas la communauté internationale.
La première partie de ce projet devrait coûter 200 millions de shekels (50 M€). Long de 1,4 kilomètre, il pourra transporter 3 000 passagers par heure à partir de 2021 selon les estimations du ministère du Tourisme. Le téléphérique passera près de plusieurs lieux Saints, aussi bien juifs, que chrétiens ou musulmans et terminera sa course au mur des Lamentations.
Suez Environnement, à travers sa filiale Safege, devait s’occuper de la faisabilité du projet. Mais pour échapper à une controverse politique, le Français s’est désengagé en 2015. Jérusalem est au coeur des conflits entre Palestiniens et Israéliens. Chaque camp considère la ville comme sa capitale.
En plus de ce téléphérique, les ministres israéliens ont approuvé le même jour un plan de 50 millions de shekels (12 M€) pour la construction d’un souterrain allant du quartier juif de la Vieille ville, jusqu’au mur Occidental, ainsi que celle d’un ascenseur permettant aux personnes âgées et handicapées de rejoindre le site. Le ministre du Logement, Yoav Galant estime que ce projet doit « renforcer la présence juive au mur Occidental. Il appartient à l’Etat d’Israël et Israël y investit des ressources ».
D’autres dossiers ont été évoqués : un nouveau tramway entre la porte des Maghrébins et le complexe de la Première Gare, et un plan sur cinq ans pour développer les infrastructures de Jérusalem.
Ces annonces interviennent alors qu’Israël célèbre depuis plusieurs jours le 50ème Yom Yeroushalayim, autrement dit la conquête de la vieille ville et de Jérusalem-Est par l’Etat hébreu durant la guerre des Six jours en 1967.
Lire aussi :Israël promet un train pour le Mur des Lamentations
La première partie de ce projet devrait coûter 200 millions de shekels (50 M€). Long de 1,4 kilomètre, il pourra transporter 3 000 passagers par heure à partir de 2021 selon les estimations du ministère du Tourisme. Le téléphérique passera près de plusieurs lieux Saints, aussi bien juifs, que chrétiens ou musulmans et terminera sa course au mur des Lamentations.
Suez Environnement, à travers sa filiale Safege, devait s’occuper de la faisabilité du projet. Mais pour échapper à une controverse politique, le Français s’est désengagé en 2015. Jérusalem est au coeur des conflits entre Palestiniens et Israéliens. Chaque camp considère la ville comme sa capitale.
En plus de ce téléphérique, les ministres israéliens ont approuvé le même jour un plan de 50 millions de shekels (12 M€) pour la construction d’un souterrain allant du quartier juif de la Vieille ville, jusqu’au mur Occidental, ainsi que celle d’un ascenseur permettant aux personnes âgées et handicapées de rejoindre le site. Le ministre du Logement, Yoav Galant estime que ce projet doit « renforcer la présence juive au mur Occidental. Il appartient à l’Etat d’Israël et Israël y investit des ressources ».
D’autres dossiers ont été évoqués : un nouveau tramway entre la porte des Maghrébins et le complexe de la Première Gare, et un plan sur cinq ans pour développer les infrastructures de Jérusalem.
Ces annonces interviennent alors qu’Israël célèbre depuis plusieurs jours le 50ème Yom Yeroushalayim, autrement dit la conquête de la vieille ville et de Jérusalem-Est par l’Etat hébreu durant la guerre des Six jours en 1967.
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