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GRÈCE. Selon le gouvernement grec - qui vient de déposer mardi 21 novembre 2017, au Parlement son projet de loi de budget - le pays devrait enregistrer une croissance 2,5% de son PIB (Produit intérieur brut) en 2018.
En 2017, pour la première fois depuis neuf ans, le PIB sera en hausse de 1,6% permettant au ministère grec des Finances d'annoncer une "entrée dans une nouvelle période de stabilité économique". Une affirmation validée par Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission européenne, qui parle d'"une croissance durable" et d'"un recul du chômage" (21,1% au second trimestre 2017).
L'espoir demeure donc permis en 2018 d'atteindre un excédent primaire (sans le service de la dette) de 3,82% du PIB (2,44% attendus en 2017) soit 0,3 point de plus que les exigences des créanciers du pays (3,5% demandés). La dette devrait représenter 332 mrds€ (179,8% du PIB) à fin 2018 contre 318,3 mrds en 2017. Athènes va donc, une nouvelle fois, être obligé de recourir à des privatisations, pour un montant d'1,1 mrd€ en 2018.
Le budget 2018 sera voté le 22 décembre 2017.
En 2017, pour la première fois depuis neuf ans, le PIB sera en hausse de 1,6% permettant au ministère grec des Finances d'annoncer une "entrée dans une nouvelle période de stabilité économique". Une affirmation validée par Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission européenne, qui parle d'"une croissance durable" et d'"un recul du chômage" (21,1% au second trimestre 2017).
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