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FRANCE. Le gouvernement français soutient la création d'une société coopérative ouvrière afin de repêcher la compagnie maritime SeaFrance. L'entreprise en liquidation judiciaire depuis le 16 novembre 2011 répondra donc à ce projet de coopérative ouvrière, la seule offre de reprise en lice depuis le désistement du groupe Louis Dreyfus Armateurs (LDA).
SeaFrance, filiale de la SNCF, emploie actuellement 880 salariés en CDI à Calais, et génère au moins autant d'emplois indirects.
Quelque 40 M€ au minimum devront être octroyés à l'avance pour le lancement de ce projet. Un acompte notamment permis grâce aux apports des salariés, aux 12 M€ promis par les collectivités locales, aux avances octroyées par le gouvernement et la SNCF. " Ce qu'on est en train d'imaginer, c'est de donner les moyens aux salariés de prendre en main leur destin et d'investir, eux, dans une coopérative" a souligné Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre française de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement.
Ceci pourrait se faire par le biais d'indemnités salariales "extra-légales" pour majorer les indemnités dues en cas de cessation de l'activité. Ces sommes seraient, sur la base du volontariat, reversées par les salariés pour constituer le capital de la, Scop.
Le tribunal de commerce de Paris se prononcera mardi 3 janvier 2012 sur ce projet de reprise.
SeaFrance, filiale de la SNCF, emploie actuellement 880 salariés en CDI à Calais, et génère au moins autant d'emplois indirects.
Quelque 40 M€ au minimum devront être octroyés à l'avance pour le lancement de ce projet. Un acompte notamment permis grâce aux apports des salariés, aux 12 M€ promis par les collectivités locales, aux avances octroyées par le gouvernement et la SNCF. " Ce qu'on est en train d'imaginer, c'est de donner les moyens aux salariés de prendre en main leur destin et d'investir, eux, dans une coopérative" a souligné Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre française de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement.
Ceci pourrait se faire par le biais d'indemnités salariales "extra-légales" pour majorer les indemnités dues en cas de cessation de l'activité. Ces sommes seraient, sur la base du volontariat, reversées par les salariés pour constituer le capital de la, Scop.
Le tribunal de commerce de Paris se prononcera mardi 3 janvier 2012 sur ce projet de reprise.