
Le premier ministre espagnol Pedro Sanchez veut mettre l'Espagne à l'heure de la transition énergétique. (photo : Pool Moncloa/JM Guadrado)
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ESPAGNE. Le gouvernement espagnol ne fait pas dans la demie-mesure. Son projet de loi « changement climatique et transition énergétique » prévoit d'interdire la vente de véhicules essence, diesel, gaz et hybrides d'ici 2040. L'effort portera également sur le logement, avec un million de réhabilitation prévues en dix ans.
Les compagnies pétrolière n'obtiendront plus de permis pour la recherche de gaz ou de pétrole sur terre comme en mer. La fracturation hydraulique sera interdite.
Pour arriver à produire 35% de son énergie avec du renouvelable d'ici 2030, le gouvernement socialiste espagnol prévoit chaque année la mise en service de centrales solaires et de champs d'éoliennes pour un potentiel de 3 000 MW.
Le plan représente suppose 100 milliards d'euros d'investissements privés, mais pourrait créer 130 000 emplois d'après le gouvernement. L'Espagne vise une réduction de 40 % de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050.
Il reste maintenant à le faire voter par le parlement et à résister au lobbies. Déjà, l'Anfac (regroupe les constructeurs automobiles) juge cette loi « excessive » et trop « accélérée ».
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