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La Ministre de l’Économie et des Finances, Elena Salgado, mise sur une amélioration de la situation économique (photo : DR)
ESPAGNE. José Luis Rodriguez Zapatero a présenté en Conseil des Ministres son dernier budget, puisque le président du gouvernement espagnol quittera définitivement son poste à l'occasion des élections de 2012.
Pour ce dernier exercice budgétaire, le chef d’État mise sur une réduction des dépenses de 4,66 mrds€ (3,8% du budget total), soit la moitié de la réduction adoptée dans le cadre du budget 2011 (10 mrds€).
La ministre de l’Économie et des Finances, Elena Salgado, a justifié ce choix optimiste par une augmentation attendue des recettes, puisque le gouvernement espagnol mise sur une croissance du PIB de 2,3% en 2012. Des estimations qui sont bien au dessus des prévisions du FMI et de l'OCDE, dont les experts misent sur une croissance du PIB espagnol de 1,6%.
Pour augmenter les recettes, le gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero mise aussi sur une croissance de 1,4% du marché de l'emploi.
Au terme du Conseil des Ministres ayant approuvé ce budget, Elena Salgado a également levé quelques incertitudes : « Nous excluons totalement tout nouvel impôt ou la moindre diminution du salaire des fonctionnaires ».
Pour autant, aucun membre du gouvernement n'a expliqué comment seront financées les nouvelles mesures sociales que José Luis Rodriguez Zapatero veut faire adopter avant la fin de son mandat, concernant notamment les familles de plus en plus nombreuses qui se retrouvent à la rue et endettées, faute de pouvoir payer les hypothèques de leurs logements.
Pour ce dernier exercice budgétaire, le chef d’État mise sur une réduction des dépenses de 4,66 mrds€ (3,8% du budget total), soit la moitié de la réduction adoptée dans le cadre du budget 2011 (10 mrds€).
La ministre de l’Économie et des Finances, Elena Salgado, a justifié ce choix optimiste par une augmentation attendue des recettes, puisque le gouvernement espagnol mise sur une croissance du PIB de 2,3% en 2012. Des estimations qui sont bien au dessus des prévisions du FMI et de l'OCDE, dont les experts misent sur une croissance du PIB espagnol de 1,6%.
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Pour autant, aucun membre du gouvernement n'a expliqué comment seront financées les nouvelles mesures sociales que José Luis Rodriguez Zapatero veut faire adopter avant la fin de son mandat, concernant notamment les familles de plus en plus nombreuses qui se retrouvent à la rue et endettées, faute de pouvoir payer les hypothèques de leurs logements.