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ALGÉRIE. Le tribunal militaire de Blida (50 km d'Alger) a condamné, lundi 10 février 2020 au soir, Saïd Bouteflika, frère et conseiller spécial de l'ancien président de la République algérienne Abdelaziz Bouteflika, à dix ans de prison ferme en appel pour complot contre l'armée et l'Etat.
Cette décision confirme le verdict de première instance en septembre 2019, alors que le procureur militaire avait requis vingt ans lors de ce dernier procès.
Sur le banc des accusés se trouvaient également deux anciens chefs du renseignements : Athmane Tartag et Mohamed Lamine Mediene (dit Toufik). Ils ont écopé de la même peine. Par contre, Louise Hanoune, secrétaire générale du Parti des Travailleurs (PT) a vu sa condamnation réduite de quinze à douze ans de prison, dont neuf mois ferme, et a donc été libérée.
Arrêtés en mai 2019, ils étaient accusés de s'être réunis en mars 2019 pour fomenter un "plan de déstabilisation" du haut commandement de l'armée. Par la voix de son chef d'Etat major, Ahmed Gaid Salah, cette dernière demandait publiquement le départ d'Abdelaziz Bouteflika, alors candidat pour un cinquième mandat.
Cette décision confirme le verdict de première instance en septembre 2019, alors que le procureur militaire avait requis vingt ans lors de ce dernier procès.
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