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ALGÉRIE. Il est non seulement le frère cadet d'Abdelaziz Bouteflika, mais a été aussi son bras droit avec un rôle renforcé depuis l'AVC en 2013 de l'ancien président de la République algérienne. Saïd Bouteflika (61 ans) a été arrêté samedi 4 mai 2019 pour "complot contre l'État" et "atteinte à l'autorité de l'armée". Dans cette disgrâce l'accompagnent deux généraux, anciens chefs du renseignement, Mohamed Mediene (alias Toufik) et Athmane Tartag (alias Bachir).
L'homme fort du pays et chef d'état major de l'armée algérienne, le général Ahmed Gaïd Salah - à l'origine de la démission d'Abdelaziz Bouteflika -, avait alerté à plusieurs reprises, et voici encore quelques jours, sans donner aucun nom, contre une menace de complot visant la stabilité de l'Algérie.
L'opération "mains propres" se poursuit donc après les nombreuses arrestations d'hommes d'affaires et de hauts responsables de l'État soupçonnés de corruption et/ou de transferts illégaux de capitaux.
Les élections présidentielles sont prévues le 4 juillet 2019 alors que les manifestants sont descendus dans la rue, vendredi 3 mai 2019, pour la onzième journée de mobilisation contre le pouvoir. Ils réclamaient notamment le départ du clan Bouteflika.
L'homme fort du pays et chef d'état major de l'armée algérienne, le général Ahmed Gaïd Salah - à l'origine de la démission d'Abdelaziz Bouteflika -, avait alerté à plusieurs reprises, et voici encore quelques jours, sans donner aucun nom, contre une menace de complot visant la stabilité de l'Algérie.
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