
Le fisc français réclame des impôts à Booking. (Logo Booking.com).
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FRANCE. Le fisc français réclame 356 M€ à booking.com. L’institution considère que la filiale de Priceline Group doit lui reverser des arriérés d’impôts sur les sociétés mais aussi la TVA pour la période allant de 2003 à 2012.
Alors que le fisc français a déposé cette demande au mois de décembre 2015, la maison mère de Booking a décidé de divulguer ces informations au mois de mai 2016 en assurant « que Booking.com était et continue d'être en conformité avec le droit fiscal français ».
Ce que conteste le fisc français. Il affirme que la centrale de réservation hôtelière en ligne « a un établissement permanent en France et qu’elle doit donc verser des impôts au fisc ». Priceline Group souhaite porter l’affaire devant les tribunaux pour contester cette évaluation.
Booking devient le deuxième géant du web à devoir rendre des comptes aux autorités fiscales françaises. Google devance la centrale de réservation. La France cherche à déterminer si ces sociétés pratiquent de l’optimisation fiscale ou de la fraude. Le 24 mai 2016, le parquet national financier menait une perquisition au siège parisien de Google.
Booking a réalisé en 2015 un chiffre d’affaires de 9,2 mrds€.
Alors que le fisc français a déposé cette demande au mois de décembre 2015, la maison mère de Booking a décidé de divulguer ces informations au mois de mai 2016 en assurant « que Booking.com était et continue d'être en conformité avec le droit fiscal français ».
Ce que conteste le fisc français. Il affirme que la centrale de réservation hôtelière en ligne « a un établissement permanent en France et qu’elle doit donc verser des impôts au fisc ». Priceline Group souhaite porter l’affaire devant les tribunaux pour contester cette évaluation.
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