
Le président turc Erdogan promet de "vaincre le terrorisme" (photo : Présidence turque)
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TURQUIE. Les Faucons de la liberté du Kurdistan (TAK) ont revendiqué, dimanche 11 décembre 2016, les deux attaques d'Istanbul, près du stade de Besiktas, à la fin d'un match, qui ont ensanglanté ce quartier de la rive européenne samedi 10 décembre 2016 au soir.
Bilan, non définitif de ces attentats : trente-huit morts, dont la grande majorité de policiers, et au moins 155 blessés.
Ce groupe, proche du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en rébellion contre le gouvernement turc, a fait exploser une voiture piégée contre un camion de transport des forces anti-émeutes et un kamikaze s'est fait sauter, quelques secondes après, au milieu d'agents dans le parc de Maçka, à proximité du stade.
La condamnation de cet attentat est unanime, du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, au Conseil de l'Europe en passant par le président russe Vladimir Poutine, son homologue français François Hollande, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson.
"Nous avons assisté, ce soir à Istanbul, à la manifestation la plus hideuse du terrorisme... Nous allons vaincre le terrorisme" a déclaré, dans un communiqué, samedi 10 décembre 2016, le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Lundi 12 décembre 2016 à Istanbul, Ankara, Mersin et Manisa, 235 Turcs accusés de diffuser "la propagande d'un groupe terroriste" ont été arrêtées. Parmi elles se trouvent des responsables du Parti démocratique des peuples (HDP), pro-kurde.
Bilan, non définitif de ces attentats : trente-huit morts, dont la grande majorité de policiers, et au moins 155 blessés.
Ce groupe, proche du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), en rébellion contre le gouvernement turc, a fait exploser une voiture piégée contre un camion de transport des forces anti-émeutes et un kamikaze s'est fait sauter, quelques secondes après, au milieu d'agents dans le parc de Maçka, à proximité du stade.
La condamnation de cet attentat est unanime, du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, au Conseil de l'Europe en passant par le président russe Vladimir Poutine, son homologue français François Hollande, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson.
"Nous avons assisté, ce soir à Istanbul, à la manifestation la plus hideuse du terrorisme... Nous allons vaincre le terrorisme" a déclaré, dans un communiqué, samedi 10 décembre 2016, le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Lundi 12 décembre 2016 à Istanbul, Ankara, Mersin et Manisa, 235 Turcs accusés de diffuser "la propagande d'un groupe terroriste" ont été arrêtées. Parmi elles se trouvent des responsables du Parti démocratique des peuples (HDP), pro-kurde.