
C'est lors de la réception de cet A350 que Benjamin Smith a confirmé ne pas vouloir reprendre XL Airways (photo : Doumenjou/Master Film)
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FRANCE. Interrogé, vendredi 27 septembre 2019 à Colomiers, près de Toulouse, lors de la livraison de son premier Airbus A350-900, Benjamin Smith a indiqué ne voir "aucun bénéfice" pour son entreprise à s'impliquer dans le dossier XL Airways. Le directeur général d'Air France, "pas encore convaincu du modèle low cost long courrier", ne laisse plus planer aucun doute : " Nous avons un environnement social stable chez Air France et nous n’allons pas mettre cela en danger." Les nombreux appels du pied de Laurent Magin, Pdg de XL Airways, seront donc restés vains.
Placée lundi 23 septembre 2019 en redressement judiciaire pour cessation de paiement, XL Airways (730 000 passagers transportés en 2018 et 570 salariés) a jusqu'à samedi 28 septembre 2019 à midi pour trouver un repreneur. Selon le gouvernement français, une piste avec "un fonds d’investissement étranger » se trouverait à l'étude.
Faute de quoi, la compagnie se retrouvera en liquidation judiciaire et connaîtra le même sort qu'Aigle Azur (1,88 million de passagers transportés en 2018 et 787 salariés) qui a cependant bénéficié d'un sursis.
Alors qu'Air France s'est également retirée de ce dossier, "malgré certains avoirs intéressants", souligne Benjamin Smith, le tribunal de commerce d'Evry se prononcera vendredi 27 septembre 2019 sur les offres de deux repreneurs potentiels d'Aigle Azur. Plusieurs syndicats de cette compagnie (CFDT, SPL, CFTC, SNPL) ont demandé, vendredi 27 septembre 2019 à l'Etat français un "prêt relais d’environ 35 millions d’euros pour sauver" Aigle Azur
Lire aussi : XL Aiways veut convoler avec Air France et Aigle Azur n'a plus qu'un prétendant
Placée lundi 23 septembre 2019 en redressement judiciaire pour cessation de paiement, XL Airways (730 000 passagers transportés en 2018 et 570 salariés) a jusqu'à samedi 28 septembre 2019 à midi pour trouver un repreneur. Selon le gouvernement français, une piste avec "un fonds d’investissement étranger » se trouverait à l'étude.
Faute de quoi, la compagnie se retrouvera en liquidation judiciaire et connaîtra le même sort qu'Aigle Azur (1,88 million de passagers transportés en 2018 et 787 salariés) qui a cependant bénéficié d'un sursis.
Alors qu'Air France s'est également retirée de ce dossier, "malgré certains avoirs intéressants", souligne Benjamin Smith, le tribunal de commerce d'Evry se prononcera vendredi 27 septembre 2019 sur les offres de deux repreneurs potentiels d'Aigle Azur. Plusieurs syndicats de cette compagnie (CFDT, SPL, CFTC, SNPL) ont demandé, vendredi 27 septembre 2019 à l'Etat français un "prêt relais d’environ 35 millions d’euros pour sauver" Aigle Azur
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