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SYRIE / LIBAN. Selon le président de la Banque Mondiale, Jim Yong Kim, le conflit en Syrie aurait généré, entre 2012 et 2014, des pertes économiques dans les secteurs public et privé libanais de 7,5 mrds$ (soit environ 5,51 mrds€).
Le Liban et la Jordanie, auraient accueilli, à eux deux "près de 2 millions de réfugiés syriens". Un quart de la population au Liban se compose de Syriens et le PIB enregistre une contraction annuelle de 2,9% entre 2012 et 2014, selon les données de la BM. Le taux de chômage aurait doublé durant cette période pour atteindre 20%.
Le Liban et la Jordanie, auraient accueilli, à eux deux "près de 2 millions de réfugiés syriens". Un quart de la population au Liban se compose de Syriens et le PIB enregistre une contraction annuelle de 2,9% entre 2012 et 2014, selon les données de la BM. Le taux de chômage aurait doublé durant cette période pour atteindre 20%.
Jim Yong Kim se veut néanmoins optimiste pour la zone Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (MENA). "Malgré l’énormité des défis auxquels elle se trouve confrontée, la région peut trouver le moyen de surmonter ses crises", souligne-t-il.