
Le blocus économique total ou partiel a été particulièrement utilisé ces dernières années, notamment pour la Libye et la Syrie. Au grand dam des armateurs, car la clause de sanction appliquée par les assureurs se traduit par la suspension immédiate de la couverture des navires. Or, si un État peut en quelques minutes interdire le commerce avec un autre pays, les compagnies maritimes ont besoin d'un peu de temps pour dérouter leurs navires.
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Ezzedine Kacem : "Je souhaite que la construction du port en eaux profondes d'Enfidha soit confiée aux Français"
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Le nouveau Cluster maritime tunisien rassemble autour de l'économie bleue
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La Commission européenne recommande l'imposition des ports en Italie et en Espagne
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Première assemblée générale de MEDPorts
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Création à Marseille de Medports
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FRANCE. Depuis la fin de l'année 2010, les assureurs peuvent mettre fin à une police d'assurance sans préavis se retranchant derrière des lois et des règlements internationaux qui sanctionnent les pays en prenant des mesures de rétorsion économique. La clause sanction peut être lourde de conséquences en particulier dans le transport maritime et le négoce avec des navires et des marchandises non assurés. |
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Depuis le début de la crise iranienne, Armateurs de France a souhaité informer ses adhérents sur les sanctions économiques appliquées par l'ONU, les Etats-Unis et l'UE auprès de nombreux Etats. Un travail minutieux de veille au quotidien. |
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Entretien avec Jean-Paul Lasserre, directeur du Garex, un GIE d'assureurs français spécialisés dans les risques de guerre. |
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Entretien avec Nicolas Jugé, vice-président de Forsea's, société de courtage en assurance maritime basée à Marseille et Genève. |
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ESPAGNE. L'évolution très favorable de l'activité des ports de marchandises en Espagne a éclipsé les problèmes liés aux interdictions très ponctuelles d'accoster en Tunisie, lors de la « révolution du jasmin ». |
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ITALIE. L'arrêt des raffineries libyennes et les sanctions décidées contre la Syrie pénalisent l'Italie. Malgré la baisse de trafic, armateurs et courtiers restent confiants compte tenu des besoins de développement que le printemps arabe devrait susciter dans le futur. |