Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
GRÈCE. Le parlement grec adopte un nouveau budget de rigueur pour 2014.
Celui-ci prévoit une hausse de 2,1 mrds€ des revenus et une baisse de 3,1 mrds€ des dépenses. Le gouvernement Grec anticipe, après six années de récession, un retour progressif de la croissance pour 2014, à +0,6% du PIB. En 2013, le PIB devrait se contracter de 4%.
Un nouveau coup de rabot va être apporté dans les secteurs de l'éducation, de la santé et de l'assurance.
Le vote de ce budget ne constitue qu'une étape du marathon grec, car dès mardi 10 décembre, des représentants de la troïka (Union européenne, Banque Centrale Européenne et Fonds Monétaire International) seront présents à Athènes pour imposer un nouveau train de réformes. Ils disposent d'un formidable moyen de pression sous la forme d'un versement d'un milliard d'euros prévu initialement pour fin 2013, mais qui devant la lenteur des négociations a été retardé à début 2014. Les discussions portent notamment sur la privatisation de l'entreprise publique d'armement EAS et le moratoire sur les saisies immobilières.