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ESPAGNE. Le tribunal de commerce de Barcelone a finalement tranché dans le dossier de rachat de la boisson chocolatée Cacaolat, en cessation de paiement depuis la fracassante faillite de son propriétaire, le groupe familial Ruiz-Mateos.
Cacaolat sera donc repris par le brasseur Damm, associé à Cobega, société d'embouteillage qui assure notamment la mise en bouteille pour le compte de Coca-Cola en Catalogne, avec à la clé un investissement de 130 M€.
Au-delà de l’acquisition des actifs industriels de la marque chocolatée catalane, les deux sociétés associées dans cette reprise s'engagent à solder les dettes de leur nouvelle entreprise (soit 7,4 M€), et surtout à injecter 66 M€ dans un projet de développement qui doit préserver les 400 postes de travail de Cacaolat à Barcelone et Saragosse.
Le plan présenté par Damm et Cobega prévoit aussi la mise en œuvre d'une stratégie internationale, ce qui supposerait une augmentation significative de la production. Les repreneurs espèrent ainsi valoriser, au-delà des frontières de la péninsule ibérique, une marque qui jouit d'une très bonne image en Espagne, malgré les déboires économiques de ces derniers mois. Comme en témoigne l'intérêt suscité par l'appel d'offres du tribunal de commerce de Barcelone ; parmi les candidats au rachat de Cacaolat, se trouvaient également des groupes aussi réputés que Vichy Catalan et Capsa (propriétaire de la marque Asturiana).
Cacaolat sera donc repris par le brasseur Damm, associé à Cobega, société d'embouteillage qui assure notamment la mise en bouteille pour le compte de Coca-Cola en Catalogne, avec à la clé un investissement de 130 M€.
Au-delà de l’acquisition des actifs industriels de la marque chocolatée catalane, les deux sociétés associées dans cette reprise s'engagent à solder les dettes de leur nouvelle entreprise (soit 7,4 M€), et surtout à injecter 66 M€ dans un projet de développement qui doit préserver les 400 postes de travail de Cacaolat à Barcelone et Saragosse.
Le plan présenté par Damm et Cobega prévoit aussi la mise en œuvre d'une stratégie internationale, ce qui supposerait une augmentation significative de la production. Les repreneurs espèrent ainsi valoriser, au-delà des frontières de la péninsule ibérique, une marque qui jouit d'une très bonne image en Espagne, malgré les déboires économiques de ces derniers mois. Comme en témoigne l'intérêt suscité par l'appel d'offres du tribunal de commerce de Barcelone ; parmi les candidats au rachat de Cacaolat, se trouvaient également des groupes aussi réputés que Vichy Catalan et Capsa (propriétaire de la marque Asturiana).