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TUNISIE. Face à la polémique suscitée depuis sa nomination lors d'un remaniement partiel le 25 février 2017, Khalil Ghariani a décidé, jeudi 2 mars 2017, de démissionner de son poste de ministre de la Fonction publique et de la gouvernance.
Membre du bureau exécutif de la centrale patronale Utica, Khalil Ghariani avait succédé à Abib Briki, un ancien syndicaliste de l'Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT).
" Au vu de la tension politique et sociale que nous avons vécue dans le pays ces dernières quarante-huit heures et après mûre réflexion (…), j’ai demandé à rencontrer le chef du gouvernement et je lui ai présenté mon désistement de ce poste", a-t-il déclaré à la radio tunisienne Mosaïque FM. Affirmant vouloir "préserver les équilibres politiques et sociaux", Khalil Ghariani a précisé que "ce n'est pas le moment pour ce genre de crise."
L'UGTT avait particulièrement mal réagi à la nomination de cet homme fort du patronat tunisien en remplacement d'un syndicaliste
et qui plus est au poste sensible de la Fonction publique.
Aucun successeur n'est prévu à Khalil Ghariani puisque Youssef Chahed, premier ministre tunisien, a décidé de supprimer ce ministère qui sera rattaché directement à la présidence du gouvernement.
Membre du bureau exécutif de la centrale patronale Utica, Khalil Ghariani avait succédé à Abib Briki, un ancien syndicaliste de l'Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT).
" Au vu de la tension politique et sociale que nous avons vécue dans le pays ces dernières quarante-huit heures et après mûre réflexion (…), j’ai demandé à rencontrer le chef du gouvernement et je lui ai présenté mon désistement de ce poste", a-t-il déclaré à la radio tunisienne Mosaïque FM. Affirmant vouloir "préserver les équilibres politiques et sociaux", Khalil Ghariani a précisé que "ce n'est pas le moment pour ce genre de crise."
L'UGTT avait particulièrement mal réagi à la nomination de cet homme fort du patronat tunisien en remplacement d'un syndicaliste
et qui plus est au poste sensible de la Fonction publique.
Aucun successeur n'est prévu à Khalil Ghariani puisque Youssef Chahed, premier ministre tunisien, a décidé de supprimer ce ministère qui sera rattaché directement à la présidence du gouvernement.