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Belhassen Trabelsi a été libéré sous caution, il ne pourra pas quitter le territoire français (photo : DR)
TUNISIE / FRANCE. Beau-frère de l'ancien président tunisien Zine El Abidine Ben Ali et mis en examen à Marseille pour "faux aggravé et blanchiment en bande organisée", Belhassen Trabelsi a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, jeudi 28 mars 2019.
L'ancien homme d'affaires tunisien a du verser une caution de 100 000 € pour obtenir de sortir de la prison des Baumettes à Marseille où il se trouve incarcéré depuis son arrestation à Villeneuve-Loubet, près de Nice, le 12 mars 2019. Il vivait en Côte d'Azur sous une fausse identité et exerçait le métier d'avocat. Il ne pourra pas quitter le territoire français et devra pointer une fois par semaine dans un commissariat.
"Je me conformerai à toutes les dispositions qui seront prises. Donnez-moi la chance de prouver que je ne suis pas un fugitif, mais un homme normal, respectueux de ses engagements", indiquait Belhassen Trabelsi lors de l'audience à la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence.
L'homme du clan Ben Ali se trouvait en cavale depuis 2016 après avoir quitté le Canada - où il s'était réfugié après la révolution tunisienne de janvier 2011 - pour éviter une mesure d'expulsion. Depuis sa détention provisoire en France, son extradition a été demandée par la justice tunisienne. Selon le ministère tunisien de la justice, il serait sous le coup de dix-sept mandats de recherche en Tunisie et de quarante-trois mandats d'amener internationaux.
L'ancien homme d'affaires tunisien a du verser une caution de 100 000 € pour obtenir de sortir de la prison des Baumettes à Marseille où il se trouve incarcéré depuis son arrestation à Villeneuve-Loubet, près de Nice, le 12 mars 2019. Il vivait en Côte d'Azur sous une fausse identité et exerçait le métier d'avocat. Il ne pourra pas quitter le territoire français et devra pointer une fois par semaine dans un commissariat.
"Je me conformerai à toutes les dispositions qui seront prises. Donnez-moi la chance de prouver que je ne suis pas un fugitif, mais un homme normal, respectueux de ses engagements", indiquait Belhassen Trabelsi lors de l'audience à la Cour d'Appel d'Aix-en-Provence.
L'homme du clan Ben Ali se trouvait en cavale depuis 2016 après avoir quitté le Canada - où il s'était réfugié après la révolution tunisienne de janvier 2011 - pour éviter une mesure d'expulsion. Depuis sa détention provisoire en France, son extradition a été demandée par la justice tunisienne. Selon le ministère tunisien de la justice, il serait sous le coup de dix-sept mandats de recherche en Tunisie et de quarante-trois mandats d'amener internationaux.