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SAHARA OCCIDENTAL. Mercredi 5 et jeudi 6 décembre 2018 s'ouvrira au Palais des Nations de Genève une table ronde, qualifiée d'"initiale", sur l'avenir du Sahara occidental à l'initiative du secrétaire général des Nations Unis, Antonio Gutteres.
Placée sous l'égide d'Horst Kohler, cette réunion vise à relancer les négociations sur ce territoire convoité par le Maroc - qui en contrôle 80% - et la République arabe-sahraouie démocratique, autoproclamée en 1976. "Il est temps d'ouvrir un nouveau chapitre dans le processus politique", commente l'ancien président allemand et désormais émissaire de l'Onu.
Avec la présence attendue de représentants du Maroc, du Front Polisario (Frente popular para la liberacion de Saguia el-Hamra y de Rio de Oro), de l'Algérie et de la Mauritanie, le simple fait de pouvoir tenir cette table ronde apparaît déjà comme un exploit alors que les discussions n'avancent plus depuis mars 2012. Selon l'ordre du jour, les participants devraient évoquer "la situation actuelle, l'intégration régionale et les prochaines étapes du processus politique".
L'Algérie soutient le Front Polisario dans ses revendications mais affirme venir à Genève qu'en tant qu'observateur.
Cette région de 266 000 km², séparée du Maroc par un mur de sable de 2 700 km, se cherche encore un statut post-colonial et est classée comme territoire non autonome par l'Onu. Le Sahara occidental ne dispose donc, à ce jour, d'aucun statut, même s'il est revendiqué par le Maroc.
Placée sous l'égide d'Horst Kohler, cette réunion vise à relancer les négociations sur ce territoire convoité par le Maroc - qui en contrôle 80% - et la République arabe-sahraouie démocratique, autoproclamée en 1976. "Il est temps d'ouvrir un nouveau chapitre dans le processus politique", commente l'ancien président allemand et désormais émissaire de l'Onu.
Avec la présence attendue de représentants du Maroc, du Front Polisario (Frente popular para la liberacion de Saguia el-Hamra y de Rio de Oro), de l'Algérie et de la Mauritanie, le simple fait de pouvoir tenir cette table ronde apparaît déjà comme un exploit alors que les discussions n'avancent plus depuis mars 2012. Selon l'ordre du jour, les participants devraient évoquer "la situation actuelle, l'intégration régionale et les prochaines étapes du processus politique".
L'Algérie soutient le Front Polisario dans ses revendications mais affirme venir à Genève qu'en tant qu'observateur.
Cette région de 266 000 km², séparée du Maroc par un mur de sable de 2 700 km, se cherche encore un statut post-colonial et est classée comme territoire non autonome par l'Onu. Le Sahara occidental ne dispose donc, à ce jour, d'aucun statut, même s'il est revendiqué par le Maroc.