PORTUGAL. EDP-Renovaveis (EDPR) va céder 49 % de ses parts détenues dans des parcs éoliens en France. Energie du Portugal confirme l’accord signé avec le fond d’investissements mené par EFG Hermès, pour une valeur de 160 M€.
La cession de 49 % du capital de l’entreprise portugaise correspond à une production de 270 MW.
L’opération une fois conclue portera à 1,03 mrd€ la valeur des cessions de capitaux d’EDP-Renovaveis sur les marchés des États-Unis et d’Europe.
Le fond EFG Hermes représente des intérêts situés au Moyen Orient, dans le Golfe mais aussi dans le nord de l’Afrique.
En France, l’opération concerne un total de trente-trois parcs éoliens en régime « feed-in-tariff », c’est à dire de paiement à la production.
EDPR, dont le siège est à Madrid, en Espagne, est le troisième producteur mondial d’électricité éolienne. Il est présent sur douze marchés différents. Le groupe, filiale de EDP- Energies du Portugal, produit 8000 MW dans le monde, dont 300 MW en France, soit la quasi-totalité de l’opération de cession de capitaux en cours.
En mai 2014, EDPR a été retenu par la France aux côtés de GDF Suez, Areva et Neoen Marine pour construire et exploiter les parcs éoliens marins du Tréport (Haute-Normandie) et des îles d’Yeu et Noirmoutier (Vendée). Les parcs éoliens maritimes devraient créer 6 000 emplois en France. La production ne devrait pas démarrer avant 2021, mais elle devrait fournir en électricité 1,6 million de personnes.
En 2013, au Portugal, 58 % de l’électricité consommée avait une origine « renouvelable ». Le pays mise surtout sur le photovoltaïque pour continuer sur cette voie. La perspective est de pouvoir exporter sur le Marché libre de l’électricité. EDPR sera présente à la première vente aux enchères des tarifs de l’énergie offshore organisée à Londres dans le courant du mois d’octobre 2014.
La bourse de Lisbonne a réagi négativement à l’ouverture des cotations mercredi 1er octobre 2014 suite à l’annonce de la vente des parcs éoliens français.
La cession de 49 % du capital de l’entreprise portugaise correspond à une production de 270 MW.
L’opération une fois conclue portera à 1,03 mrd€ la valeur des cessions de capitaux d’EDP-Renovaveis sur les marchés des États-Unis et d’Europe.
Le fond EFG Hermes représente des intérêts situés au Moyen Orient, dans le Golfe mais aussi dans le nord de l’Afrique.
En France, l’opération concerne un total de trente-trois parcs éoliens en régime « feed-in-tariff », c’est à dire de paiement à la production.
EDPR, dont le siège est à Madrid, en Espagne, est le troisième producteur mondial d’électricité éolienne. Il est présent sur douze marchés différents. Le groupe, filiale de EDP- Energies du Portugal, produit 8000 MW dans le monde, dont 300 MW en France, soit la quasi-totalité de l’opération de cession de capitaux en cours.
En mai 2014, EDPR a été retenu par la France aux côtés de GDF Suez, Areva et Neoen Marine pour construire et exploiter les parcs éoliens marins du Tréport (Haute-Normandie) et des îles d’Yeu et Noirmoutier (Vendée). Les parcs éoliens maritimes devraient créer 6 000 emplois en France. La production ne devrait pas démarrer avant 2021, mais elle devrait fournir en électricité 1,6 million de personnes.
En 2013, au Portugal, 58 % de l’électricité consommée avait une origine « renouvelable ». Le pays mise surtout sur le photovoltaïque pour continuer sur cette voie. La perspective est de pouvoir exporter sur le Marché libre de l’électricité. EDPR sera présente à la première vente aux enchères des tarifs de l’énergie offshore organisée à Londres dans le courant du mois d’octobre 2014.
La bourse de Lisbonne a réagi négativement à l’ouverture des cotations mercredi 1er octobre 2014 suite à l’annonce de la vente des parcs éoliens français.