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MONDE. Antonio Manuel de Oliveira Guterres devrait remplacer Ban Ki-moon, dont le mandat s'achève le 31 décembre 2016, au poste de secrétaire général des Nations Unies. Il a été formellement choisi par le Conseil de sécurité, jeudi 6 octobre 2016.
Agé de soixante sept ans, l'ancien premier ministre socialiste portugais (1995 à 2002) puis président de l'Internationale socialiste (1999 à 2005) a déjà été plébiscité par les représentants des quinze membres du Conseil de sécurité de l'ONU, mercredi 5 octobre 2016. Son président, Vitaly Churkin, avait alors annoncé qu'il était "le net favori pour devenir le prochain Secrétaire général de l'Onu" à l'issue de six scrutins informels où neuf candidats se trouvaient en lice et qu'il a tous gagné. Le dernier vote secret lui accordait treize votes favorables et deux blancs (un émanant d'un membre permanent et l'autre d'un non permanent). Il lui reste encore à obtenir la validation des 193 Etats membres de l'Assemblée générale de l'Onu.
Antonio Guterres, qui parle couramment outre le Portugais, le Français, l'Espagnol et l'Anglais, va devoir gérer un monde en crise, notamment en Méditerranée. A son avantage, cet ancien haut-commissaire aux réfugiés (2005 à 2015) connaît bien cette région et ses problématiques. Il lui appartiendra de régler l'impasse syrienne, tâche au cours de laquelle son prédécesseur a été tenu en échec.
Le nouveau Secrétaire général de l'ONU, il en sera le neuvième, est le premier Européen à occuper ce poste depuis l'Autrichien Kurt Waldheim (1972 à 1981).
Agé de soixante sept ans, l'ancien premier ministre socialiste portugais (1995 à 2002) puis président de l'Internationale socialiste (1999 à 2005) a déjà été plébiscité par les représentants des quinze membres du Conseil de sécurité de l'ONU, mercredi 5 octobre 2016. Son président, Vitaly Churkin, avait alors annoncé qu'il était "le net favori pour devenir le prochain Secrétaire général de l'Onu" à l'issue de six scrutins informels où neuf candidats se trouvaient en lice et qu'il a tous gagné. Le dernier vote secret lui accordait treize votes favorables et deux blancs (un émanant d'un membre permanent et l'autre d'un non permanent). Il lui reste encore à obtenir la validation des 193 Etats membres de l'Assemblée générale de l'Onu.
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