
A Marseille, la forme 10 est l'une des plus grandes d'Europe (photo Port Marseille Fos)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE. Après la décision du Conseil d’Etat qui valide la procédure engagée par le Port de Marseille, les négociations vont reprendre avec le groupe CMA CGM sur l’aménagement de la forme 10 à Marseille, l’une des plus grandes formes de radoub d’Europe avec ses 465 mètres de long.
A la suite d’un appel à projet qui avait vu quatre candidats s’affronter, le choix s’était porté sur le dossier de l’armateur marseillais.
Ce dernier était intéressé par la possibilité de faire réparer ses plus gros porte conteneurs dans cet espace, mais avait aussi prévu un volet grande plaisance avec un chantier, une marina de 130 anneaux et un hôtel. Le tout pour un investissement de plus de 300 M€ et quelques 800 emplois annoncés.
Du côté du groupe, on se refusait, mercredi 10 juin 2009, à tout commentaire après l’arrêt du Conseil d’Etat. La conjoncture a toutefois beaucoup évolué depuis que le projet avait été déposé début 2008 et l’heure n’est peut-être plus à ce type d’investissement pour le troisième armateur mondial.
A la suite d’un appel à projet qui avait vu quatre candidats s’affronter, le choix s’était porté sur le dossier de l’armateur marseillais.
Ce dernier était intéressé par la possibilité de faire réparer ses plus gros porte conteneurs dans cet espace, mais avait aussi prévu un volet grande plaisance avec un chantier, une marina de 130 anneaux et un hôtel. Le tout pour un investissement de plus de 300 M€ et quelques 800 emplois annoncés.
Du côté du groupe, on se refusait, mercredi 10 juin 2009, à tout commentaire après l’arrêt du Conseil d’Etat. La conjoncture a toutefois beaucoup évolué depuis que le projet avait été déposé début 2008 et l’heure n’est peut-être plus à ce type d’investissement pour le troisième armateur mondial.