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Francisco Arderius, Pdg d'UNM (photo NBC)
ESPAGNE. Réagissant aux propos de la CGT de la réparation navale marseillaise, qui dénonce le recours abusif à la sous-traitance, Francisco Arderius, Pdg du groupe, a indiqué, le 11 mars 2009, que leurs déclarations ne faisaient que souligner leur "ignorance sur la réussite de la réparation navale".
A ses yeux, seule la sous-traitance permet de pouvoir faire face aux variations d’activité.
"La moyenne d’occupation était de un sur quatre. C’est-à-dire, pour 140 salariés de l’UNM, on donnait du travail en moyenne jusqu’à 500 sous-traitants, 90% appartenant au tissu économique local. Des proportions tout à fait normales dans la pratique des chantiers de l’Europe, et qui apportent un équilibre raisonnable à l’activité", estime le Pdg d'Union Naval Marseille, filiale du groupe Boluda.
"A Barcelone, contrairement à ce qui a été dit, il y a 130 salariés et non pas 40, et une moyenne de 400 sous-traitants locaux", a poursuivi Francisco Arderius qui dénonce l’attitude "intransigeante, déraisonnable, irresponsable et irrespectueuse " de la CGT.
Lire aussi: La CGT devrait faire appel de la liquidation d'UNM
Et Le \"mayday\" des professionnels portuaires marseillais
A ses yeux, seule la sous-traitance permet de pouvoir faire face aux variations d’activité.
"La moyenne d’occupation était de un sur quatre. C’est-à-dire, pour 140 salariés de l’UNM, on donnait du travail en moyenne jusqu’à 500 sous-traitants, 90% appartenant au tissu économique local. Des proportions tout à fait normales dans la pratique des chantiers de l’Europe, et qui apportent un équilibre raisonnable à l’activité", estime le Pdg d'Union Naval Marseille, filiale du groupe Boluda.
"A Barcelone, contrairement à ce qui a été dit, il y a 130 salariés et non pas 40, et une moyenne de 400 sous-traitants locaux", a poursuivi Francisco Arderius qui dénonce l’attitude "intransigeante, déraisonnable, irresponsable et irrespectueuse " de la CGT.
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