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LIBYE. 61 députés du Parlement libyen de Tobrouk sur les 101 présents ont voté, lundi 22 août 2016, contre la motion de confiance au gouvernement d'union nationale (GNA) placé sous l'autorité de Fayez al-Sarraj.
Cette décision confirme une précédente consultation en janvier 2016 et vient de nouveau affaiblir l'autorité du GNA. Installé sous l'égide de l'Onu en mars 2016, il a bien du mal à s'imposer.
Basé à Tripoli, le gouvernement d'union nationale tente, tant bien que mal, de gérer les affaires courantes tout en luttant contre l'Etat islamique.
Elu en juin 2014, le parlement de l'Est du pays, qui avait déménagé à Tobrouk après la prise de Tripoli par une coalition de milices, est reconnu par la communauté internationale. Il soutient cependant un autre exécutif : celui d'Al-Baïda, également implanté à l'Est.
Le Parlement de Tobrouk donne dix jours au Conseil présidentiel (neuf membres) pour soumettre de nouveaux candidats.
Lire aussi :La Libye croule sous les "gouvernements"
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