
Le premier ministre Recep Tayyip Erdogan savoure la victoire du Evet (oui) (photo AKP).
Voir aussi
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
-
La Slovénie obtient 3,26 mrds€ de l'UE pour soutenir le développement durable de son économie
-
La Turquie menace la Grèce de s'emparer militairement des îles de la mer Égée
-
Augmentation massive des prix du gaz et de l'électricité en Turquie
TURQUIE. Trente ans jour pour jour après le coup d’Etat militaire de 1980, les Turcs ont adopté à 58%, dimanche 12 septembre 2010, une réforme de la constitution.
Le nouveau texte réduit la possibilité pour les juges et les militaires d’intervenir dans la vie politique. L’Union européenne a salué « un pas dans le bon sens ».
Les marchés ont réagi positivement à la victoire du oui : la Bourse d’Istanbul a battu un record dès l’ouverture, lundi 13 septembre 2010.
Les marchés ont réagi positivement à la victoire du oui : la Bourse d’Istanbul a battu un record dès l’ouverture, lundi 13 septembre 2010.
La Tüsiad, le patronat turc, a réclamé de nouvelles avancées et « une constitution en phase avec le XXIe siècle» pour que la Turquie s’aligne pour de bon sur les critères d’adhésion à l’Union européenne.
Mais la perspective des élections législatives en juin 2011, n’est pas propice aux réformes.
Mais la perspective des élections législatives en juin 2011, n’est pas propice aux réformes.
Les négociations avec Bruxelles sont au point mort depuis plusieurs mois. Le ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu a critiqué la lenteur du dialogue avec l’UE.