
Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, rencontre des Casques bleus de la MINURSO le 5 mars 2016. Photo ONU/porte-parole
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MAROC. Dans un message adressé le 17 juillet aux chefs d'Etat africains réunis à Kigali à l'occasion d'un sommet de l'Union Africaine, le roi du Maroc Mohammed VI a fait part de la volonté de son pays de réintégrer l'UA.
Le Maroc avait claqué la porte de l'UA en 1984 quand l'organisation avait proposé un siège à la République arabe sahraouie démocratique (Front Polisario). Le Maroc donc l'UA sans avoir obtenu gain de cause, mais Mohammed VI estime que « sur la question du Sahara, l'Afrique institutionnelle ne peut supporter plus longtemps les fardeaux d'une erreur historique et d'un legs encombrant ». Le Maroc « est confiant dans la sagesse de l'UA pour rétablir la légalité et corriger les erreurs de parcours ».
Sur le terrain, le cessez-le-feu proclamé en 1991 devait théoriquement déboucher sur l'organisation d'un référendum que les Sahraouis attendent toujours. La Minurso, déployée au Sahara occidental par l'ONU pour veiller au respect du cessez-le-feu et organiser le référendum, se heurte depuis 25 ans à un refus du Maroc. En mars 2016, Mohammed VI a carrément expulsé les experts de la Minurso après une déclaration du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, sur le statut du Sahara occidental.
Après de longues négociations, ils sont de nouveau autorisés à revenir sur le terrain.
Le Maroc avait claqué la porte de l'UA en 1984 quand l'organisation avait proposé un siège à la République arabe sahraouie démocratique (Front Polisario). Le Maroc donc l'UA sans avoir obtenu gain de cause, mais Mohammed VI estime que « sur la question du Sahara, l'Afrique institutionnelle ne peut supporter plus longtemps les fardeaux d'une erreur historique et d'un legs encombrant ». Le Maroc « est confiant dans la sagesse de l'UA pour rétablir la légalité et corriger les erreurs de parcours ».
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