
Transgreen veut développer un réseau méditerranéen d'électricité (carte Transgreen) CLIC pour agrandir
Ne manquez pas !
-
Les mesures de restriction se renforcent autour de la Méditerranée
-
L'agence de l'eau Rhône-Méditerranée Corse lance des ateliers sur les enjeux environnementaux des espaces côtiers et insulaires en Méditerranée
-
Les systèmes de santé méditerranéens à l'épreuve de la Covid 19
-
Recep Tayyip Erdogan veut adoucir ses relations avec la France et l'Union européenne
MAROC / MEDITERRANEE. Le Maroc, via son Office National de l'Electricité (ONE), a décidé de rejoindre l'initiative industrielle pour la création d'un grand réseau de transport d'électricité entre les deux rives de la Méditerranée.
Ce projet baptisé Transgreen s'inscrit dans le cadre du Plan Solaire Méditerranéen (PSE) et regroupe dans son consortium dix-huit groupes industriels. Il a été officiellement lancé à Paris en juillet 2010.
Ce projet baptisé Transgreen s'inscrit dans le cadre du Plan Solaire Méditerranéen (PSE) et regroupe dans son consortium dix-huit groupes industriels. Il a été officiellement lancé à Paris en juillet 2010.
L'ONE vient compléter la liste des six groupes (Red Electrica de España, Veolia environnement, Ineo, Nemo, Soitec Concentrix solar, Walid Elias Establishment) qui sont venus rejoindre les fondateurs de Transgreen (Abengoa,AFD, Alstom, Areva, Atos Origin, CDC infrastructure, EDF, Nexans, Prysmian, RTE, Siemens et Taqa Arabia).
Depuis 1997, l'ONE gère avec Red Electrica de España (REE) la seule interconnexion électrique sous-marine qui relie le continent africain à l'Europe entre le Maroc et l'Espagne. Déjà passée en 2006 de 700 à 1 400 MW, elle pourrait atteindre les 2 100 MW. Un projet dans ce sens est en cours d'étude.
Lire aussi : Paris lance officiellement Transgreen