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MAROC. Le Maroc est entré, avec le Togo, le Guatemala, l'Azerbaïdjan et le Pakistan, au Conseil de sécurité de l'ONU, dimanche 1er janvier 2012.
L'ONU, fondée en 1945, vise à "maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations, à promouvoir le progrès social, à instaurer de meilleures conditions de vie et à accroître le respect des droits de l'homme".
Ainsi, les cinq pays entrants disposeront à partir du 1er janvier 2012 d'un mandat de deux ans. Le mandat des cinq autres membres non permanents, le Portugal, la Colombie, l'Allemagne, l'Inde et l'Afrique du Sud, s'achèvera à la fin de 2012.
Ces entrées interviennent alors que l'ONU se trouve confrontée aux vétos de la Russie et de la Chine sur la condamnation des violences en Syrie et que l'organisation avait également été accusée par la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud sur le dossier libyen et notamment l'exercice du mandat du Conseil de sécurité donné à l'Otan.
La nouvelle composition du Conseil de sécurité ne changera rien à la candidature de la Palestine à un siège d’État membre qui n'a pas de chance d'aboutir dans cette configuration. D'autant plus que les États-Unis promettent un véto.
L'ONU, fondée en 1945, vise à "maintenir la paix et la sécurité internationales, à développer des relations amicales entre les nations, à promouvoir le progrès social, à instaurer de meilleures conditions de vie et à accroître le respect des droits de l'homme".
Ainsi, les cinq pays entrants disposeront à partir du 1er janvier 2012 d'un mandat de deux ans. Le mandat des cinq autres membres non permanents, le Portugal, la Colombie, l'Allemagne, l'Inde et l'Afrique du Sud, s'achèvera à la fin de 2012.
Ces entrées interviennent alors que l'ONU se trouve confrontée aux vétos de la Russie et de la Chine sur la condamnation des violences en Syrie et que l'organisation avait également été accusée par la Russie, la Chine, l'Inde, le Brésil et l'Afrique du Sud sur le dossier libyen et notamment l'exercice du mandat du Conseil de sécurité donné à l'Otan.
La nouvelle composition du Conseil de sécurité ne changera rien à la candidature de la Palestine à un siège d’État membre qui n'a pas de chance d'aboutir dans cette configuration. D'autant plus que les États-Unis promettent un véto.
