Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Europlasma s'engage dans le traitement en France des déchets d'amiante algériens

Les PME vulnérables face à la corruption (photo CC-kmillard92)
MAROC. Le premier portail de dénonciation de la corruption au Maroc, stop corruption.ma, vient d’être lancé.
Destiné aux entreprises, le site permet de recueillir les informations relatives à des pratiques et tentatives de corruption ou d’incitation à la corruption, dans le cadre des marchés publics ou d’opérations d’investissement.
Il permet notamment de dénoncer en ligne, de façon anonyme, tout acte de corruption dont les Pme pourraient être victimes ou témoins.
Le portail se veut également un outil de promotion des règles de bonne gouvernance et de concurrence loyale dans l’environnement des affaires.
L’initiative est appuyée par la coopération technique allemande (GTZ ) et lancée en partenariat avec l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC ), le ministère de l’ Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM ), le ministère de la Justice et le ministère des Affaires économiques et générales.
Selon l’Indice de perception de la corruption (IPC), le Maroc est classé 89ème sur 180 pays en 2009. Il a obtenu une note de 3,3 sur 10, ce qui le situe au 9ème rang parmi les 17 pays de la région MENA.
Destiné aux entreprises, le site permet de recueillir les informations relatives à des pratiques et tentatives de corruption ou d’incitation à la corruption, dans le cadre des marchés publics ou d’opérations d’investissement.
Il permet notamment de dénoncer en ligne, de façon anonyme, tout acte de corruption dont les Pme pourraient être victimes ou témoins.
Le portail se veut également un outil de promotion des règles de bonne gouvernance et de concurrence loyale dans l’environnement des affaires.
L’initiative est appuyée par la coopération technique allemande (GTZ ) et lancée en partenariat avec l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC ), le ministère de l’ Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM ), le ministère de la Justice et le ministère des Affaires économiques et générales.
Selon l’Indice de perception de la corruption (IPC), le Maroc est classé 89ème sur 180 pays en 2009. Il a obtenu une note de 3,3 sur 10, ce qui le situe au 9ème rang parmi les 17 pays de la région MENA.