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MAROC. La construction de la LGV, entre Tanger et Casablanca, va encore fagociter, à elle seule, 370 M€ (4 milliards de dirhams), en 2015, sur une enveloppe annuelle d'investissements de 693 M€ (7,5 milliards de dirhams), a révélé Mohamed Rabie Khlie, le directeur général de l’Office national des chemins de fer (ONCF), lors de son conseil d’administration.
Pour les deux prochaines années, au moins, le développement des infrastructures ferroviaires au Maroc va se limiter, en dehors la LGV à laquelle sera consacré au total plus de 1,8 mrd€, à quelques changements mineurs. Les travaux d’augmentation de capacité entre Casablanca et Kénitra, au nord de Rabat, le doublement partiel de la voie entre Settat et Marrakech et la mise à niveau de la ligne rejoignant Oujda vont se poursuivre. En 2015, 324 M€ iront à la poursuite de la modernisation du réseau existant.
Aujourd’hui, des villes comme Beni Mellal, Khouribga, Ouarzazate, Agadir, Essaouira restent coupées de toutes liaisons ferroviaires. Pour pallier ces manques, l’ONCF possède une compagnie d’autocars Supratour et offre la possibilité d’acheter des billets combinés rail-car.
Pour les deux prochaines années, au moins, le développement des infrastructures ferroviaires au Maroc va se limiter, en dehors la LGV à laquelle sera consacré au total plus de 1,8 mrd€, à quelques changements mineurs. Les travaux d’augmentation de capacité entre Casablanca et Kénitra, au nord de Rabat, le doublement partiel de la voie entre Settat et Marrakech et la mise à niveau de la ligne rejoignant Oujda vont se poursuivre. En 2015, 324 M€ iront à la poursuite de la modernisation du réseau existant.
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